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3 septembre 2021 5 03 /09 /septembre /2021 13:59

https://www.youtube.com/watch?v=H7pcm5vICdU

Dampers internes fabriqués par la NASA.. Je pensais en voyant cette tour du Tokyo Skytree à une technologie beaucoup plus évoluée.. Mais il reste que cette tour de 635 mètres est remarquable, et basée sur le style des pagodes à colonne vertébrale (shinbashira).

image d'un schéma de pagode en quinconce


Les pagodes à shinbashira (pilier central) ont un secret différent de celui que les modèles occidentaux imaginent. Qui peut me prouver que la simulation ci-contre est la bonne ? Moi, j'ai pensé d'emblée à toute autre chose. Quand ton pied achope sur un caillou.. est-ce que ta colonne vertébrale se met les vertèbres en quinconce ?

vidéo de five storey pagodas


Sans rien connaître de ce qu'il faut savoir sur les pagodes.. Sont-elles reliées au sol par leur périphérie ou par leur shnbashira ? ..Parce que notre colonne vertébrale à nous n'est pas reliée au sol !
Remarquez que dans cette vidéo très bien faite, les secrets des pagodes ont été effacés de l'enregistrement (à la 6 ième minute et 30 seconde).. Que cherche t on encore à nous cacher ?

La NASA doit fabriquer des secoueurs sismiques ou, de préférence soniques, à vibrations concentriques qui remontent un building de façon longitudinale de bas en haut, pour structurer une onde stationnaire.. Mais faire confiance à d'hypothétiques essais ne fera pas avancer les choses. Il me faut analyser beaucoup plus clairement les effets de mire entre le haut et le bas d'un bâtiment pour mieux appliquer cette loi de polarité quantique : "En réponse à une intrusion, un système blessé effectue en urgence, avec la source de cette intrusion, un échange pour adapter et conserver son propre potentiel de puissance."
Pour mieux comprendre les effets de mire, ici à droite et à gauche, voici la photo d'un bâtiment mobile (sous-marin) qu'on appelle vaisseau, car ce qui est mobile rencontre les mêmes difficultés vibratoires venues de l'intérieur ou de l'extérieur.. Même une torpille ne fait de dégâts que par vibrations.

Pour en revenir aux pagodes, les sorins sont intéressants: ces "décorations" placées sur leur toit, qui sont fractalement elles-mêmes des pagodes, sont décrites comme ceci:

WIKIPEDIA... : "Le sōrin est supporté par une longue flèche — souvent obtenue par la réunion de deux ou même trois flèches plus petites — qui descend vers la base de l’édifice. Même si on croit souvent que le pilier au cœur d'une pagode japonaise (ndlr: le shinbashira) est un dispositif pour le renforcer contre les séismes, son seul but est de soutenir le long et lourd sōrin de bronze. Dans de nombreux cas, la flèche centrale n'atteint pas le sol mais trouve sa base quelque part au-dessus du sol au sein de la pagode où elle est soutenue par une poutre ou d'autres moyens. À Nikkō Tōshō-gū (1818), par exemple, elle est suspendue par des chaînes du troisième étage. De sa base sort un long tenon qui, en pénétrant une mortaise dans une base en pierre (心礎, shinso?), l'empêche d'osciller."....

WIKIPEDIA nous fait la démonstration que le sorin est un élément antisismique fractal, même si cette encyclopédie ajoute avec le blabla habituel des scientistes: "Cette structure a été adoptée non pas comme une mesure contre les tremblements de terre, mais parce que, avec le vieillissement, le bois de la pagode, dont le grain est le plus souvent horizontal..." Fantastiques, ces gouttes d'eau en haut du sorin..

Voici schématiquement dessinée (excusez le mauvais dessinateur) ci-dessus une onde stationnaire telle qu'elle doit exister à l'intérieur d'une construction pour ne pas subir d'effets sismiques en aucune manière. Nous allons voir comment cela est possible à partir d'un procédé mécanique.. rudimentaire, certes, mais qui peut expliquer ce qui se passe, notamment au niveau de ce que le pilier shinbarashi est censé représenter. Ce dessin de droite montre une sorte de baguette découpée en 2 parts longitudinales; cettte baguette représente le bâtiment. Le fait qu'elle soit séparée indique qu'à l'intérieur de ce bâtiment montent anarchiquement des ondes sismiques "à droite ou à gauche".

Peu importe le côté du bâtiment qui reçoit l'onde: si au milieu de cet édifice se trouve un répartiteur à crémaillères qui relie à chaque palier les 2 côtés, le bâtiment n'aura pas le temps de souffrir d'une onde à gauche ou à droite. Cette fonction de répartition ne dé-sert que les mouvements de torsion latéraux, mais nous avons une première élément anti sismique sous la main.

Sorin de pagode

Pour cela, il faut évidemment que le distributeur (shinbashira) ne soit pas fixé sur la struture statique du bâtiment; or dans les vraies pagodes japonaises, comme on peut le lire dans Wikipédia, le shinbashira non seulement n'est pas enfoncé dans le sol, mais il est quelques fois soutenu par des chaînes accrochées au bâtiment, ce qui fait toute la différence.

La notion de répartiteur est cruciale, parce que, si jusqu'ici nous avons vu que la polarité peut et doit équilibrer une intrusion d'énergie à chaque étage d'un système, ce qui nous est absolument nécessaire est de détecter l'interface qui permet de mobiliser l'intrusion et la compensation.

ostensoir chrétien

L'étude des pagodes avec leur shinbashira, surmonté de leur sorin.. touche à sa fin. Il y a encore beaucoup à en dire. Mais ce qui nous intéresse est l'onde stationnaire qui permet d'entrer dans la quatrième dimension vibratoire, qui repousse en même temps toute vibration extérieure. Et ce n'est pas encore gagné. Remarquons encore cette sorte d'ostensoir sur les sorin, qui montre l'illumination du Bouddha (émanation brusque de lumière autour d'un répartiteur humain de plein exercice), comme certains ostensoirs chrétiens: les Japonais ont presque réussi à se créer des bâtiments éternels.

Nous allons devoir réexaminer d'une façon différente les effets de mire à l'intérieur d'un bâtiment, qui permetttent d'obtenir une totale indépendance énergétique et sécuritaire par rapport au monde qui nous entoure.

De très grands habitants de l'Ancien Monde (Neptune) m'ont montré cette nuit en rêve une particularité d'objets - dont j'ai déjà traité dans un autre article - que l'on appelle des "gongs".

Leur présence me terrifiait et la raison de leur insistance m'échappait.

Ce n'est que plus tard qu'un élément indispensable à la compréhension de la loi de polarité m'est apparu, qui n'est pas sans rapport avec les sorins à shinbashira.

Lorsque l'on se réprésente des gongs, tels qu'ils sont utilisés en Asie dans la religion bouddhiste,

Cloche de Chion-in, Kyoto

l'on voit parfois un moine frapper un gong ou une cloche, attaché à une barre en bois, avec une sorte de poutre elle-même attachée à un autre point élevé.

Mais quelque chose n'a pas été comprise par les Japonais. Eux qui ont érigé cette grande et remarquable cloche sous la pagode que je vous montre aussi ci-dessous, sur cette ancienne

Temple -pagode de Chion-In, Kyoto

carte postale..

Une pagode où l'on retrouve aussi la représentation réduite d'un sorin, à l'extérieur.

 

 

 

 

Ce qui n'a pas été compris, se retrouve pourtant en partie dans cette autre oeuvre (image de droite) plus moderne, située à Lod en Israël, et baptisée "World peace bell".

Nous voyons clairement que la poutre et la cloche sont attachées au même support !! 

C'est là que se trouve le secret des secrets.

Les habitants de l'Ancien Monde ont montré que, pour que les vibrations qui animent une cloche - ou les séismes qui agitent un Temple - soient annulés, il faut -et c'est évident- que ces vibrations se rejoignent à un seul sommet, grâce à une "élévation" des vibrations qui frappent, en même temps que leurs réponses dans la structure.

Vous voyez, nous nous rapprochons de notre but: se servir d'un contexte dangereux ou chaotique pour qu'un bâtiment puisse s'élever plus haut que les vibrations chaotiques de son contexte dans la 3ième dimension. La connexion doit se faire "à l'étage", comme dans le dessin du sorin et de la goutte de lait.

bell donated to Adam Campus
Raanan Kulka and Ven. Sangye Khadro

Ce qui m'a été donné d'entendre dans ce rêve curieux était précisément la cloche sonnant une seule fois, mais à intervalles réguliers.

 

 

A suivre, article en construction.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 juillet 2021 4 01 /07 /juillet /2021 16:15

Bonjour,

Nous avons parfois parlé dans les articles de ce blog d'un phénomène sismique parmi les plus ardus à modéliser: le ras-de-marée. 

C'est que -entre le début et la fin du processus- son activité collectionne tous les défis de la physique car ses causes sont à la fois multiples et radicalement opposées (il en existe surtout 3), ses conditions de déroulement sont différentes à chaque fois et sa finalité .. toujours surprenante.

Après des dizaines d'année passées à resasser ce modèle, voilà soudain une idée venue de l'Esprit: et si nous l'identifions correctement en lui accordant des "conditions idéales" ?

Voilà pourquoi nous allons parler de la Terre comme d'un.. sac de billes, surmontée d'eau océanique, évidemment. Une Terre qui va subir une "cassure" sous la forme d'un effondrement "calibré" sous une forme rectangulaire ..

Voici la Terre: c'est un sac de billes. Amusant, non ?

Le défi principal consiste à décrire le croisement des fluctuations qui  secouent l'élément liquide, avec celles de l'élément solide (les billes, ici), et les retards et les (co)ïncidences entre ces fluctuations. 

En attendant, reprenons le processus d'un ras-de-marée depuis le début, en considérant qu'il aura lieu à partir d'un effondrement de terrain sous l'eau, et que les conséquences se répercuteront sur 2 côtés, au lieu de toute la périphérie d'une cassure, périphérie trop difficile à dessiner..

L'effondrement de terre se répercute en un effondrement de l'eau de l'océan

 

 

 

 

 

Donc dans un premier temps, la terre (les billes) s'effondrent, et l'eau s'effondre pour suivre exactement la descente du plancher sous-marin. La Terre étant représentée ici en conditions idéales par des billes, celles qui étaient en-dessous vont devoir se diriger.. vers la surface, de chaque côté de l'effondrement, car elles sont incompressibles et n'ont pas d'autres endroits où aller.

 

Pendant que la terre "remonte" sur les berges (les bords de l'image), selon la quantité exacte de l'effondrement sous-marin, la mer produit un double inversé, avec l'eau au-dessus de sa surface, avec les eaux qui se retirent des bords (de plage) . C'est la loi dont nous avons déjà parlé: un élément liquide, réagit perpendiculairement  à l'influence d'un attracteur (ici:

L'eau réagit comme un tremplin à "l'effondrement" !

direction et sens de la gravité) comme un tremplin de piscine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La phase suivante est l'effondrement du surplus créé, c'est-à-dire l'affaissement de la "reproduction en surface" elle-même. Cet affaissement fait débuter le tsunami: l'eau prend la route des bords de terre, à partir du centre du "double", bords qui vont bientôt être submergés.

Nous allons passer à la phase suivante, la plus intéressante, en raison du contexte où la Terre est remplacée par des billes dans ce modèle. Pour cela nous allons observer de près un seul "côté" du ras-de-marée, car en réalité l'excédent d'eau part dans toutes les directions. En résumé donc, un tsunami se crée en partie parce que, lorsque la mer se met en route pour combler le vide de l'effondrement, elle continue à affluer même quand le vide est comblé. Car elle ne peut s'arrêter sur sa

Le tsunami est une fluctuation liquide qui rejoint la fluctuation de terre

lancée. Et elle forme donc un double inversé. Puis quand celui-ci s'écroule, il naît une fluctuation liquide qui s'en va rejoindre la fluctuation terrestre (ici celle des billes qui remontent sur le côté) pour la confronter (se mettre en face) et ainsi annuler le dérèglement local créé par le ras-de-marée.

Dans des conditions idéales, les fluctuations seraient des dampers, des amortisseurs l'une pour l'autre. C'est ici que nous devons revenir à plus de réalisme: les fluctuations ne s'amortissent pas, et le tsunami a bien lieu.

En vertu du principe d'équivalence, la fluctuation liquide tend donc à rejoindre la fluctuation de Terre. Donc au centre du cercle, ci-dessus, il n'y a pas seulement une localisation de leur jonction. Ce qu'il faut savoir, c'est que les deux fluctuations ont répondu à l'appel d'un même vide, mais malheureusement elles ont répondu avec retard, l'une par rapport à l'autre.

Conclusion: un ras-de-marée a lieu parce que les fluctuations du contexte se rencontrent en différé: elles ne s'amortissent pas.

Comment viter un ras-de-marée ?

Sortons de ce seul contexte, et partons étudier le ou les principe(s) à l'oeuvre

Gradient 1: le principe d'équivalence

Gradient 2: le principe de réciprocité

Gradient 3: le principe de polarité

Toutes les masses (eau et billes, ici) sont poussées par des ondes sous-jacentes qui circulent dans la terre et dans la mer pour créer cette tentative d'amortissement qu'est un ras-de-marée.

Première représentation de la loi de polarité (compensation).

Les ondes témoignent d'un déplacement d'énergie qui pourrait être compensé dès le départ pour "travailler" en toute sécurité, et produire des effets remarquables (c'est le moindre mot) par une utilisation judicieuse de tout le processus si l'on s'attachait à un processus entièrement nouveau: le principe de polarité.

Ce principe est le plus recherché au monde, voyons les étapes pour y arriver;

Et si donc nous partions du résultat final (au centre du cercle) pour créer, à l'envers, un effondrement au fond de la mer ? Ce serait en effet "magique", digne de Merlin l'Enchanteur. Et ce n'est pas impossible. 

Wilhelm Reich a parlé du "principe de superposition" qui domine l'ensemble de diverses structures naturelles.

Il en existe donc un exemple ici.

Modélisons les forces en présence avec un petit changement du dessin ci-contre .

La polarité est la superposition de Reich

 

 

Nous voilà donc face à un aspect concret encore inconnu que  nous n'avions pas décelé jusqu'ici: dans la loi de polarité: non seulement un élément du système liquide se superpose à l'élément solide, mais à l'intérieur de chacun d'eux une partie de l'élément liquide devrait interagir du côté solide, et inversément.

Comme on peut le voir dans l'image ci-dessous.

 

 

La polarité yin et yang sont un exemple de clivage des ondes sous-jacentes à la construction d'une réalité.

Le principe d'équivalence dit ceci:

Quatrième dimension, twilight zone
Polarité yin yang, princ. de superposition

A partir d'ici, nous pouvons améliorer le principe d'équivalence qui nous a permis d'arriver jusqu'ici. Ce principe disait en substance une vérité qui semble ridicule, mais qui n'était pas si facile à mettre en valeur avec les ras-de-marée: "ce qui est retiré d'un côté se retrouve à un autre endroit ".

Mais en partant de là, nous sommes arrivés à une conclusion améliorée du principe d'équivalence: le principe de réciprocité.

Le principe de réciprocité dit ceci:

" Dès l'instant où quelque chose est retiré "d'un certain côté", cet endroit est déjà comblé, anticipativement, par autre chose venu d'un "autre côté". Et réciproquement. 

A partir d'ici, il faut se souvenir d'une chose: selon Georges Lemaître, le Big Bang serait issu d'un point originel situé partout et nulle part. (Tao et Taï-chi-chuan: "le centre est partout, et l'infini est nulle part").

Ce qu'il n'a pas dit, c'est qu' à partir de ce point, chaque particule de matière partant dans toutes les directions est toujours restée au centre de "son" univers. Mais pour qu'elle reste au centre de l'Univers, qui est aussi celui des autres, cette particule doit bénéficier d'une antériorité préalable à tout déplacement, une compensation stricte, absolue, même dans un univers ou la relativité suit son cours.

Dans le sigle du Tao dessus nous voyons la création d'un vide réciproque dans chaque élément de la superposition.

Intérieur de Vénus perçu aux ondes radar par la sonde Virtis

L'équivalence et la réciprocité ne sont pas donc les seuls critères mettant en scène la superposition: il existe une 4 ième dimension qui met en scène et compense chacun des déplacements de la plus petite particule qui existe.

Le principe de polarité

Paradoxalement, cette 4ième dimension se retrouve de l'autre côté du couple d'interaction, l'un pour l'autre et l'un en face de l'autre.

Souvenons-nous de ce qu'a photographié la sonde Virtis au pôle Sud de Vénus (voir ci-dessus) en 2007.

Vénus laisse apparaître à ses pôles une sorte de "chevron" , un "S" qui tourne sur lui-même; ce S traduit non seulement un verouillage permanent entre les 2 parties, mais aussi qu'une petite part bleue d'un côté se retrouve du côté rouge, et inversément. C'est le signe d'une polarité yin-yang d'une planète vivante pour créer un ouragan dont la permanence est scientifiquement inexplicable.

 

Vénus ouragan permanent au pôle sud, par V. Express

Voici pour info ce qui est dit en ce site, ici

Données de l'image ci-contre: "L'« œil de l'ouragan » sur Vénus, pris par le spectromètre d'imagerie thermique visible et infrarouge (VIRTIS) à bord de Venus Express. Le point jaune représente le pôle sud."

L'organisation de la circulation atmosphérique de Vénus en deux tourbillons circumpolaires, un centré sur chaque pôle, a été déduite pour la première fois il y a plus de 30 ans à partir d'images ultraviolettes de Mariner 10. La caractéristique en forme de S au centre des tourbillons sur Vénus a été détectée pour la première fois par le Pioneer Venus Orbiter près du pôle nord et récemment par l'orbiteur Venus Express autour du pôle sud. Il est également connu pour se

Ondes transversales

produire dans les cyclones tropicaux de la Terre...

...Une autre similitude entre les caractéristiques observées dans les circulations de vortex de Vénus et dans les ouragans terrestres est la présence d'ondes transversales s'étendant radialement vers l'extérieur depuis les centres de vortex. Il faudrait savoir si ces ondes sont émises simultanément à partir de chaque centre.

Les teintes rouge et le bleue sont non mélangées mais présentes aux 2 bouts

Contrairement à ce que disent les scientifiques, le point jaune au centre de l'image ci-dessus n'est PAS le centre géographique du pôle visionné; celui-ci se trouve au milieu du S, sur la croche bleue.

Reprenons l'explication et le cas illustré par l'image ci-contre: l'anneau de piscine.

Mécaniquement, les 2 teintures ci-dessus sont évidemment d'un sens giratoire différent l'une de l'autre, du point de vue de la surface du bassin.. Pour que chaque giration fonctionne en superposition, il faut que

l'une tourne autour de l'autre soit au centre, soit à la périphérie dans le sens opposé. Le " sens opposé " peut être interprété d'une simple manière: l'un étant moins apide que l'autre; c'est ce qu'on appelle "effet rétrograde" en perception.

Le procédé déjà décrit dans un autre article aurait dû nous mettre en face de cette réalité: pour qu'une tension permanente existe (interaction) entre 2 parties de l'espace, il faut une interpénétration minimale, mais effective, incon-tournable et.. très curieuse, il faut bien l'avouer.

 

Ce processus est très intéressant à comprendre, car une fois celui-ci mis en route, nous aurions besoin de très peu d'activité synchronisée pour qu'à partir d'un milieu immense on arrive à créer un effet gigantesque.

La recherche s'effectue au niveau mécanique, mais aussi acoustique. Le secret acoustique de la superposition: comment interpréter le "sens opposé" d'une vibration sonore..

Jusqu'ici, nous avons parlé d'un élément d'une dimension supérieure qui se retrouve de façon anodine dans notre dimension, en tant qu'élément masquant (voir ci-dessus : schéma de localisation de l'étincelle masquée dans c3 et ci-dessous le second foyer dans l'espace de Kepler).

Max Planck s'est fabriqué des unités en m^5/ sec^1

Nous voyons dans la première loi que l'on confronte R² et T1, et nous voyons qu'il manque une dimension de temps comparativement à R². Cette dimension se trouve dans la précession du système, exactement comme ce qui se passe dans l'infiniment petit: à ce niveau microcosmique, l'action de Planck a besoin de s'allier à une pulsation en 1/T pour obtenir et maintenir l'énergie d'un électron sur sa bande.

3 ième loi de Kepler en version newtonienne.

Cet "alliance" se retrouve dans la 3 ième loi de Képler, où il manque encore une fois une dimension de temps dans T² pour confronter le cube du rayon, R3 et maintenir et obtenir l'orbite d'une planète autour du Soleil. 

Observons les ondes de temps croisées et en rotation, calculées avec les symboles 4 pi² .

Cette dimension manquante est encore et toujours la précession T du système. En vérité, cqui gouverne cet Univers est fabriqué par essence d'intensité acoustique de dimension T3/R3.

 

A suivre / article en construction..

 

Etude théorique du fonctionnement d'une vague

 

 

 

 

 

 

 

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1 juin 2021 2 01 /06 /juin /2021 17:30

Bonjour,

Après observation des différents "théorêmes" de la physique, l'on s'aperçoit que dans l'ensemble, ils traitent de relativité.
 

Mecaflux: si la vitesse varie à gauche, le terme de droite compense

1. Par exemple, prenons le principe de Bernouilli: il parle de "charge", c'est-à-dire de pression constante mais diversifiée en fonction d'un même milieu, considéré comme "constant"..
Je viens d'utiliser le terme "en fonction", mais j'aurais pu écrire: "relativement à.." .
Pour ce qui suit, il me faut rappeler que la charge s'exprime en unités dimensionnelles de m²/sec². Car les pressions s'expriment en pascals.. car dans la stricte physique espace-temps (analyse dimensionnelle), un pascal est 1 m²/sec²; vérifiez par vous-mêmes que dans Bernoulli la densité d'énergie cinétique est aussi une vitesse au carré (v²) et de même pour la densité d'énergie potentielle: l'accélération g multipliée par la hauteur h, nous avons le calcul (g) en m/sec² x (h) en m = m²/sec². la lettre grecque "rho" représente un indice "sans dimension" ayant une valeur n numérique.

2. Prenons aussi le plus vieil exemple "relatif" au monde: le principe d'Archimède, très intéressant parce qu'il peut non seulement se décliner en "poids de volume", et aussi en terme de charge.
Voici sa définition, quelque peu remaniée avec l'image d'un bateau, pour aller plus vite: "Un bateau que l'on fait descendre

Dans "Archimède", les charges sont autant "pressions" que "contrepressions"

dans l'eau pour la première fois, attire contre ses parois l'opposition de la pression (c-à-dire de la charge) qui règne à tous les niveaux
de la profondeur où il descend (ben oui), jusqu'à ce que cette pression corresponde au poids du volume d'eau déplacé "par et contre"
ces mêmes parois (poids/parois "égale" charge), à l'intérieur du bateau. Ici, la relativité s'effectue en fonction du milieu "flottant" et de sa constante de pression à chaque niveau.

Mais avant d'aller plus loin, vous aurez remarqué que les exemples précédents font
intervenir un élément exhaustif (le bateau) qui, par son irruption dans ce milieu est sensé changer ses coordonnées de pressiion, mais n'a la possibilité de le faire.. que seulement à très court terme, pendant la durée de la fluctuation. Dans Bernoulli, la pression changée par exemple dans le domaine de la gravité g.h va être compensée par un changement pour P ou v²/2 (voir mécaflux en début de page).

Pareillement dans Archimède, les changements de contrepression dans le bateau sont instantanément compensées par un réajustement autour du bateau, à l'intérieur du milieu flottant.

3. Tout cela nous amène à la relativité de Lorentz.

Voyons maintenant la charge c² qu'utlise Lorentz pour fabriquer son facteur de dilatation du temps.
Le facteur de Lorentz est la racine d'une différence entre la charge cosmique du carré de la vitesse de la lumière et celle du carré de la vitesse d'un véhicule, relativement.. à cette charge cosmique (c²-v²)/c². En revenant au principe d'Archimède, c'est comme si on admettait finalement et à juste titre qu'un bateau "fabriqué avec de l'eau" venait interférer avec un milieu.. fabriqué aussi avec de l'eau !
 

En analyse dimens. : l'impédance se mesure en vitesse (m/sec) !

"Un bateau que l'on fait descendre pour la première fois.." s'interprète par ailleurs chez Lorentz que pour qu'une fluctuation de pression ( - v²) existe, il a fallu que quelque chose interfère avec c² .. pour créer cette fluctuation c² - v².
Or selon le principe d'équivalence, qui dit bêtement que ce que l'on retire d'un côté, il faut le mettre autre part, alors nous DEVONS trouver un endroit où l'on retrouve la valeur nette et positive ( + v²) de la charge déplacée.

Où se trouve cette charge + v² dans (c² + v²) .. ?

En fait, elle ne peut que se trouver extrêmement près de c², dans une oscillation permanente dans le temps (mais pas le même temps) autour de cette valeur de pression ou charge ou densité d'énergie du vide- appellons cela n'importe comment- oscillation "au-dessus et au-dessous" de c². C'est-à-dire en plus de c² ou en moins: en surpression ou en dépression.

Nous avons parlé de "permanence".. Ici il faut la notion d'alignement perceptif de tous les instants où nous trouvons c²+v² !

Le temps que nous vivons ici, dans la 3D, est l'alignement des moments compris en dessous de c². Avec les millennaires, et à cause d'étranges invalidations, notre attention s'est uniquement fixée sur  la pression de c²-v².

Nous avions vu dans l'article

archimédien de "l'équation des milieux stables" que la pression d'un milieu à qui l'on retire l'impédance²  acoustique de ce même milieu vaut "zéro" (tout disparaît ! ):  Cela signifie qu'une pression est le carré de l'impédance acoustique (vibration fondamentale auto-entretenue) qui règne dans son milieu. Mais il existe une vibration, une oscillation de chaque côté de la pression du vide quantique ou pression de la substance universelle éthérée qui, elle aussi possède sa propre impédance². 

Les fluctuations de la 3D ont un écho dans le monde miroir de la 4D ; image en construction

Cette impédance carrée est créatrice de tout: l'Univers lui-même, et l'océan qui, sur Terre, "porte les bateaux" !

Prenons la pression qui règne dans tout l'océan: aussi forte soit-elle à n'importe quelle profondeur, elle n'est que le résultat d'un écrémage des oscillations de c² en moins v² ..et ce qui est anormal, comme nous l'avons déjà souligné: nous ne percevons que l'écrémage négatif.

Cette image de Carlos Castaneda "défiant" me plaît beaucoup. Vers 1960 ?

C'est ici qu'il faut faire intervenir une remarque de physiciens "quantiques" dont j'ai oublié le nom: ils ont affirmé que si les corps lumineux (les photons) peuvent être perçus de façon ondulatoire ou corpusculaire, sans que les 2 perceptions ne se mélangent, alors il doit être possible de percevoir les océans, mers et rivières de façon corpusculaire, c'est-à-dire comme un ensemble de bulles statiques (mers) ou en mouvement (rivières).

Rappellons que cela a été vérifié à propos des rivières par Carlos Castaneda: au lieu de precevoir l'eau qui coule vers le bas en direction de la mer, en étant plongé dans une rivière du Mexique: il a perçu et a même été porté par des "bulles", mais dans le sens contraire.. en remontant la rivière à vive allure vers sa source.

Pressions relativistes du principe d'équivalence

Paradoxalement, les corps planétaires (= les planètes !) peuvent être perçus de façon ondulatoire.. On appelle ces ondulations: les Emanations. Et pour ceux et celles qui les ont vues, elles sont inimaginables de beauté, et probablement les émanations (inter)planétaires s'interpénétrent, comme les océans ne se séparent pas les uns des autres.

Mais quel appareil peut provoquer pour nous les "moments positifs" de la fuctuation, pour nous immerger dans la charge + v² qui s'y trouve ? .. Car n'oublions pas la loi du principe d'équivalence: ce qui est perdu d'un côté ressurgit d'un autre côté, et peu importe le lieu et la discontinuité de l'action, dans l'espace et le temps.

Conclusion: rappel de ce qui précède:

Reprenons justement l'exemple interférant du bateau: "Un bateau que l'on fait descendre pour la première fois.." signifie par ailleurs
chez Lorentz que pour qu'une fluctuation ( - v²) existe, il a fallu que quelque chose interfère avec c² .. pour créer cette fluctuation c² - v².
Or selon le principe d'équivalence, qui dit bêtement que ce que l'on retire d'un côté, il faut le mettre autre part, nous DEVONS trouver un endroit où l'on retrouve la valeur nette et positive ( + v²) de la charge déplacée.

Où se trouve cette charge c² + v² .. ?


 

Ce grand "bâtiment" droit est pourtant agité d'un terrible séisme

En fait, elle ne peut que se trouver extrêmement près de c², dans une oscillation permanente dans le temps (mais quel temps ?) autour de cette valeur de pression ou charge
ou densité d'énergie du vide, appellons cela n'importe comment, oscillation "au-dessus et au-dessous".

Mais quel appareil peut percevoir et utiliser les "moments positifs" de la fuctuation, et donc la charge + v² qui s'y retrouve ?

A ce stade, on est pas obligé d'aller trop vite. Pour avancer, il faut d'abord faire une correction légère sur ce qui est écrit ci-dessus en mauve, où l'on décrit c² - v² comme une fluctuation de c² .. En réalité, ce n'est que la moitié de l'opération: le parcours de pression (un différentiel traité sous forme d'espace) se situe de chaque côté de c² et correspond à la totalité de la fluctuation. Cela peut sembler.. anodin ?

Cigares volants
Engin de type "vaisseau-mère" autour de Saturne

Pas tout-à-fait. Selon le modèle du séisme "infiltré" à l'intérieur d'un bâtiment, (voir l'image ci-dessus du garçon devant des bâtiments schématiques) une structure bien construite peut, par une réponse adaptée coincidant avec une gestion du retard, annuler l'effet du séisme (l'effet "oscillation"). Et dans le cas des espaces-temps croisés qui sont signifiés par c², il faut prévoir donc qu'un effet relativiste correspondant à c² - v² peut être annulé par la conjonction de sa vibration miroir c²_v², si elle a lieu en même temps.. dans un appareil, par exemple.

Intérieur d'un vaisseau-mère photographié à New Hope en Pennsylvanie

Pour rappel, nous avons déjà discuté du double impact d'une vibration à l'intérieur des véhicules extra-terrestres (voir photo ci-contre); nous en avons déjà parlé, mais le fait de savoir comment ces choses sont possibles nous rapproche de notre objectif. La quantité astronomique de photos de ce type d'engins est incroyablement riche en infos utilisables.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 A suivre, merci de votre attention.

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25 avril 2021 7 25 /04 /avril /2021 15:13
La Passe du Soleil
Publié en 1830, puis en 1977 par Lysiane Delsol, "Le Sphinx".
 
Que le Peuple, demain, des secrets n'aît l'usage.
Tous les douze mille ans vient l'ère des dangers.
Qu'il surveille le ciel, qu'il soit prudent et sage:
La passe du Soleil tente les étrangers.
Immense sablier de l'ardente lumière
 
Et Portique géant où s'efface le temps,
Suprême point zéro que franchit la Matière,
En un instant si bref qu'il n'est d'aucun instant.
Où je n'ai pas vécu, tel un être au tombeau,
Lorsque j'ai traversé, pour venir en ce monde, 
 
Cette passe éphémère, à bord de mon vaisseau.
Demain qui donc croira qu'en ce zéro fugace
Le Temps et tous les temps ne sont plus qu'un seul temps ?
En vain l'Homme voudra s'élancer dans l'Espace:
Il ne saura franchir vos limites pourtant.
 
Et quand viendra le jour où l'Immense Portique
s'ouvrira lentement sur le monde, à nouveau,
On verra dans la nuit, la clarté magnétique
Des grands vaisseaux de flamme, au terrestre niveau.
Que les peuples, plus tard, du piège prennent garde:
 
Vos rapides vibhams, seraient aussi perdus
en des lieux inconnus, traversés par mégarde,
Quand les Temps de nos temps se trouvent confondus.
Mon fils je vous révèle tout le secret terrible:
Voyez le point central du sablier fatal.
 
C'est là qu'est le Portique au zéro non sensible,
Que chacun peut franchir en un instant banal.
Doux prince, sachez bien qu'il faut grande science
Pour traverser la Passe en fuyant les dangers.
Je vous parle en vainqueur de cette expérience,
 
Dont peuvent triompher de cruels étrangers.
Aux peuples de la Terre enseignez la Sagesse:
Qui'ls portent leurs regards vers les sombres lointains.
Durant trente-six mois, cette passe traitresse
Peut laisser parmi vous des ennemis certains.
 
Nombre de conquérants surgiront de l'espace,
Pour répandre l'effroi, multiplier l'horreur.
Sur la Terre ils fondront, tel le cruel rapace,
Et des peuples entiers fuiront dans la terreur,
Vous ne serz plus là, doux prince de ma race:
 
Au Sablier du Temps, les siècles couleront.
De sombres étrangers, demain, prendront la place:
Devant eux les plus forts, tremblants, reculeront.
Je vois venir du ciel une troupe nombreuse,
Avec d'immenses chars qu'on destine au combat
 
Le Peuple veut des dieux: l'espérance est trompeuse:
On tue, on pille, on brûle et chacun l'on abat.
Une espèce bâtarde a conquis la planète.
Il n'est plus de richesse ou de savoir parfait.
Sur le Monde mugit le vent de la conquête:
 
Mon oeuvre disparaît jusqu'au dernier bienfait.
Les villes flamberont d'un feu qui tout consule.
Les corps deviendront tels que des sales dans l'air.
Les femmes, les enfants, dans la braise qui fume
Iront trouver la mort en un rapide éclair.
 
Les monstres, sans pitié, vont désoler la Terre,
En vidant les cités par un rayon mortel.
Leur science est maudite, et l'homme désespère:
Il croyait que l'Amour était universel.
 
 
Gravité: existe-t-il une autre face que le "front de charge" ?

 

 
Bonjour,

La constante de Bernoulli, reconnue par tous, met sur un pied d'égalité en mécanique des fluides la pression statique P en un point, la pression dynamique qui est la mesure de l'énergie cinétique par unité de volume et ce qu'il faut bien appeler: la charge (de gravité) g.z qui est la pression d'une colonne d'eau d'un puits due à sa hauteur z (la colonne d'eau est un exemple) et l'éccélération gravitationnelle g.
 
Devant une telle combinaison de termes de l'équation différents mais sensiblement unifiés (voir ci-contre), on peut éventuellement scruter ce qu'est le comportement de "la charge" comparativement à la pression dynamique. Prenons l'exemple de cette portion d'une onde de pression qui est aussi le front d'un liquide en mouvement, portion d'onde que l'on appelle "la vague". La vague présente donc un front avec, à l'arrière, une dépression de charge négative aussi large et vaste que la pression elle-même.

Je pose la question en allant pas plus loin dans la comparaison: est-il permis d'espérer un jour trouver une dépression à l'arrière d'un front de charge (de gravité), -d'une colonne d'eau d'un puits, par exemple-, comme on en trouve une à l'arrière du front de la vague ?

Merci de votre attention.. c'était une question posée sur Futura-sciences. 
 
Mais tentons d'y répondre par nous-mêmes ici sur over-blog: toutes les formes et donc tous les "objets" se vident d'énergie et se remplissent un très grand nombre de fois "par seconde"; cette mesure "par seconde" est un leurre dû à l'apparente continuité de notre existence.. Nous ne percevons pas le temps qui souffle violemment sur notre visage, parce que nous regardons vers l'arrière, tout en marchant vers l'avant. Notre temps-horloge est la continuité successive de la "vidange" des objets, pas de leur remplissage.
Mais cette considération n'est pas que philosophique, sur le temps et sa perception: car si la gravité entropique résulte de l'alignement de notre attention sur l'espace (alignement créateur des 3 dimensions) et son énergie paisible.. la lévitation surunitaire résultera de l'alignement de notre attention sur le souffle du temps. Seul le "bénéfice" de ce souffle peut nous emmener dans la 4 ième dimension.
Attention!.. il s'agit pour nous d'enfourcher un cheval au galop, car tout l'art va consister à s'emparer des moments "négatifs" (par rapport à notre ligne de temps) sans que cela ne détruise notre tonal ou notre corps. Nous réfléchissons à un tel procédé, car il va s'appliquer à une technologie qui va nous aider.
Il est aussi difficile pour nous de percevoir les moments "négatifs" de notre temps cinématique, qu'à un cow-boy sur une pellicule de super-8 de percevoir les 25 vides par seconde entre les images de son propre western.
Il en résultera des phénomènes conjoints considérés comme miraculeux, comme un débit de fluide semblant sorti de nulle part, ou des phénomènes de bilocation, d'invisibilité, de vitesse non-inertielle et des milliers d'autres phénomènes dont seules les légendes nous ont parlé.
Mais en attendant la technologie, nous travaillons à affiner l'équation de surunité, dans cet article, ici.
La gravité est une vague; et comme toute vague elle possède un oeil au centre, autour duquel elle tourne de façon centripète, en avançant. Cet oeil est soumis à d'autres lois, et les vagues de la mer ont toutes la même origine..
A suivre,..
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23 mars 2021 2 23 /03 /mars /2021 17:24
Que le Peuple, demain, des secrets n'aît l'usage.
Tous les douze mille ans vient l'ère des dangers.
Qu'il surveille le ciel, qu'il soit prudent et sage:
La passe du Soleil tente les étrangers.
Immense sablier de l'ardente lumière
 
Et Portique géant où s'efface le temps,
Suprême point zéro que franchit la Matière,
En un instant si bref qu'il n'est d'aucun instant...
 
Lysianne Delsol: "Le Sphinx". Extrait du "Portique du Soleil".

Bonjour,

En fonction de nouvelles conceptions sur les amortisseurs sismiques (comme celui de la tour 101 de Tai-Pei, à Taï-Wan) et en faisant référence au corps humain qui dispose lui-même d'amortisseurs de vibrations, il faut nous offrir la possibilité de découvrir le rôle-clé du diaphragme.

Ci-dessus: imaginons 2 boules pouvant tourner- chacune à l'intérieur d'une crapaudine-. Elles sont reliées entre elles par un ressort qui les repousse, mais les crapaudines sont reliées entre elles par des câbles qui les

convertisseur de couple

retiennent; l'ensemble est un amortisseur qui va + ou - répondre à des sollicitations (chocs, vibrations..) attractives et répulsives.

Avec un convertisseur de couple on peut s'intéresser à adjoindre une énergie entrante et sortante. Pour expliquer rapidement le procédé, il permet à une hélice d'en faire tourner une autre à distance, rien qu'en envoyant un fluide qui tourne dans le même sens, ou même dans le sens contraire, comme on le voit sur cette image, par l'intéressante intermédiaire d'un stator muni lui aussi d'une hélice..

Le point d'assemblage est lumineux visible ici à droite..

Le seul ennui avec le premier schéma que l'on voit au début de cette page, c'est qu'il manque un diaphragme (un stator à hélice contrarotative ?) qui contrôlerait aussi bien les tractions que les pressions. Il se trouverait probablement au centre.. pourrions-nous penser..; car en réalité, concernant le corps humain par exemple, il semble que toutes les tractions soient mobilisées par un organe, lui-même commandé dans le corps lumineux par "le point d'assemblage" ( de la perception ). 

En attendant, nous allons donc nous pencher sur le rôle du très étrange organe du corps humain qu'est le diaphragme. Ci-contre, cette femme inconnue s'est faite photographier avec une camera de Progen (aura camera vision 6000) qui montre l'aura, et plus particulièrement le point d'assemblage, à sa gauche (à droite sur la photo).

Le diaphragme.. un allumeur ?

Ci-contre, voici le schéma d'une fonction plausible du diaphragme: la création d'une étincelle par une connection entre 2 zones de l'abstrait, de l'éther.

Ces schémas peuvent sembler curieux ou incompréhensibles, mais ils s'adressent à une partie de nous-mêmes que l'on utilise rarement. Ici, nous en avons un

Le diaphragme.. un aiguillage ?

autre: la fonction d'échangeur, d'aiguillage.

 

Les boules représentent les 2 mires d'un objet ou d'un corps dans notre dimension. Quand elles sont alignées (sur 2 instants futurs), tous les miracles sont possibles. Prenons exemple ce sous-marin, et admettons que le diaphragme est un aiguilleur d'énergie entre les mires..

 

Sous-marin français en alignement de mires futur-futur

Selon le modèle de l'aiguillage, l'alignement de mires sur ce sous-marin va le rendre invisible(1), parce qu'il sera toujours en avance temporelle sur tout ce qui nage à côté de lui; à ce moment-là, même son inertie(1) change d'orientation. Mais nous avons besoin d'un diaphragme et nous travaillons sur sa réalisation.

Voici un autre modèle de diaphragme: l'encaisseur.

Ici la main joue un des rôles du diaphragme: elle encaisse d'un retrait toutes les vibrations

Sur ce modèle, la main représente un des mouvements possibles du diaphragme: une tension se crée en permanence en agitant la main de haut en bas; une vague permanente se crée, puis est rompue par un brusque retrait de la main.. la corde casse et c'est l'encaissement: les 2 mires se superposent au même endroit.

La main représente donc le diaphragme sur ce modèle. Peut-être.. MAis elle devrait se trouver, même symboliquement, plus au centre de l'image, comme dans le modèle ci-contre du "redresseur de sens".

Celui-ci est très facile à comprendre; il est basé sur le jeu forain de la pêche aux jouets; le centre symbolise l'écheveau qui est obligé de tourner dans le même sens que le lotus et la couronne; le lotus symbolise l'eau qui porte les jouets. La couronne fait tourner les fils qui passent devant le joueur.

Ce modèle représente assez parfaitement le surprenant fonctionnement interne de l'anneau de piscine (ring pool). Anneau que l'on peut voir dans la vidéo réalisée par l'internaute "Physics Girl" sur Youtube.

 

Ring pool - anneau de piscine, image de Physics-girl prise sur Youtube

Mais l'anneau de piscine présente un diaphragme externe, ce qui complique une fois encore la compréhension définitive de la mobilisation du circuit de Pouvoir, par exemple à l'intérieur du sous-marin surunitaire que nous avons montré plus haut.

(1) Lorsque les mires sont alignées (confondues, c'est le même effet) dans le même instant, la soumission à l'attraction grave disparaît. Dès lors l'engin est en répulsion interne avec tout l'extérieur (antigravité); sa maniabilité est non-inertielle, son apparence rejoint l'invisiblité (mais pas toujours complètement), sa sécurité est nettement renforcée; son indépendance énergétique est à la mesure de la surunité (lire "De la Terre à la Lune", de Jules Verne).

Vaissseau photographié à partir du sommet du mont Washington, Amériquedu Nord, 1870.
Vaissseau alien photographié à partir du sommet du mont Washington, Amérique du Nord, 1870. Carte postale d'époque.

Et surtout, il naît pour lui une objectivation de résultat propre à son nouveau mode vibratoire: "le véhicule peut atteindre un endroit sans plus de résistance, ni délais".

Le champ terrestre antigravifique

Regardons l'astronef ci-dessus: il ressemble à un sous-marin inversé: Gracieuseté de Sam Sherman, Mount Washington/New Hampshire.

Nous avons vu par cet article qu'une cathédrale [qui, de l'extérieur, ressemble souvent à un astronef retenu au sol par des filins (arcs-boutants)] tire son énergie du sol. C'est également vrai pour les engins à antigravité; le vaisseau de 1870 au Mont Washington possède une proéminence vers le bas, alorsqu'un sous-marin en a une vers le haut..

A l'origine de l'humanité, les hommes vivaient dans la 4 ième dimension, qui est dominée par le champ vibratoire antigravifique de la Terre. Certains appellent "Terre Creuse" cette 4 ième dimension, car notre 3 ième dimension y est connectée de façon parfois visible aux 2 pôles; mais en réalité le champ antigravifique est partout. Notre dimension en 3D est comme un aquarium dans une pièce en 4D plus grande: nous y sommes observés, mais nous ne pouvons voir ceux qui nous observent. Cette petite histoire mise à part, il nous est possible de nous connecter en faisant bouger (vibrer) les mires d'une faon spécifique, comme nous l'avons dit plus haut.

Nous sommes à la veille du jour anniversaire où Youri Gagarine s'est élancé comme le premier homme dans l'espace, il y a 60 ans, le 12 avril 1961/ il se fait que ce jour ancien est aussi le jour de ma naissance. Donc, à 60 ans, je ne peux plus faire autrement que de déterminer ici la loi de surunité, afin de pouvoir avancer dans une nouvelle aire/ère de travail.

La loi de surunité doit tenir compte d'un "y noir" tournant et d'un "x positif" alternatif où c'est précisément l'activité de la partie cachée "y" qui fournit  une énergie redondante et synchronisée (dans le temps terrestre) pour la zone "z". 

La zone z tient curieusement la place du diaphragme..

 

Il faut s'imaginer dans l'éther, où rien n'existe d'autre que l'éther; pour créer une structure intéressante, il faut savoir profiter de l'action sur cette substance et de sa propre réaction.

Donc au départ Dieu lui-même a dû étudier diverses possiblités de matériel à énergie auto-entretenue.

En premier lieu, il s'est construit une ou plusieurs sphères tournantes élaborées à partir d'un feuilletage de plaques, plaques séparées entre elles par un vide et reliées au centre comme les pages d'un livre. Cela c'était pour l'action; pour récupérer la réaction, il s'est constitué autour de chaque sphère une bande tournant non seulement sur elle-même -mais aussi en sens contraire -  qui est exactement le trou de ver dont nous avons parlé, ou plus simplement au "pool ring" ou anneau de piscine qui montre clairement comment une telle tension se crée entre ses pôles.

Platon a dit: "Il fut un temps où les hommes percevaient très clairement les 2 mouvements opposés de l'Univers"

 

En second lieu, il a placé le trou de ver au centre de la sphère, et les plaques feuilletées autour (A illustrer, dessin en construction); cette structure est encore utilisée aujourd'hui à l'intérieur de chaque planète; les feuilletages d'alternation magnétiques entraînent des mouvements de convection de matière tournant sans cesse autour de leur propre centre. Chaque centre est siutué sous l'équateur des planètes,  grande profondeur (1500 km ? Seuls des mesures précises de ces

Les horloges remontent le temps aux pôles des planètes. Ici Mars et son ring pool

convections connues des naturalistes peuvent nous aider).

Une planète (comme ici à droite Mars avec son propre atoll de Benguer) possède son ring pool interne dont les extrémités ouvrent un autre espace-temps..

Certains se sont trouvés près de l'atoll de Benguer terrestre, et ont vu leur horloge de poignet (une montre) remonter le temps. Ainsi, nous savons que non seulement le "ver quantique" tourne en sens inverse mais également il remonte le temps. Ce qui confirme la théorie du double circuit d'impédance sonore débutant à chaque pôle (les lignes d'impédance remontent le temps). Cette image de Mars est incroyable: elle présente un vortex près de l'atoll, comme on en trouve aussi sur Vénus et sur Terre; il est très clair que les flux d'électricité négative et positive entrant et sortant de ces endroits ne se rejoignent pas..

En lisant cet article jusqu'ici, le lecteur a pu se demander, à propos du sous-marin français de nouveau reproduit ci-contre, comment l'on peut trouver 2 mires sur un tel véhicule. Dans les articles précédents, nous avons souvent parlé de la mire du futur située graphiquement à l'avant d'un vaisseau et qui représente l'endroit de sa destination. Mais comment pourrait-il y avoir également une mire à l'arrière ?

Réponse: le débit de remplacement du bateau, qui est l'eau qui circule autour de lui en sens contraire lorsqu'il avance, possède elle aussi une destination future, située à l'arrière du navire. 

Ce débit de remplacement correspond exactement au front du navire (en m²) x sa vitesse (en m/sec), mais en sens contraire donc.. C'est pourquoi les mires sont strictement identiques en puissance d'appel.

Karmann dans le voisinage d'une île

C'est ce qui transparaît en quelque sorte avec le phénomène suivant: l'influence des 2 mires crée une structure en forme de tresse dans une traînée  de Karmann, chaque partie de la tresse s'attirant et s'étirant en longueur parce que de même tension (future), mais pas exactement alignée l'une sur l'autre. La résolution de Navier-Stokes doit amener automatiquement un véhicule à atteindre sa destination sans coup férir.. Quant à l'équation de surunité: elle englobe forcément Navier-Stokes.

Les allées de Karmann, avec leurs doubles noeuds implosifs (centripètes) sont une réplique -en mouvement accéléré et itératif- du fonctionnement d'un ras-de-marée: là où une action d'effondrement entraîne une réaction de surélévation. Les 2 zones vertes ci-dessus sont des mires.

La perception de 2 mires futures en "reconnaissance attractive" est particulièrement évidente dans une Karmann street.

De l'abstraction de la masse à la composante T4

1. La masse est une abstraction, à la base

Rappel: nous nous sommes focalisés jusqu'ici sur le fait que l'équation de surunité est une égalité qui crée un débit; c'est prouvé par exemple dans l'histoire de Moïse et des Israëlites, mais il y a moyen d'utiliser un autre chemin, car un débit représente l'apparition constante d'une masse à l'attention d'un observateur. Or, selon la

Création de la masse

logique, la plus simple expression d'un débit est l'apparition d'une quantité de masse finie en fonction d'un contenant spécifiquement limité.

Une masse apparaît dans un milieu de création quand ce milieu est pris en charge par la synchronisation (acoustique) des mires. La conductance carrée est due aux 2 sens qu'emprunte l'impédance acoustique  entre les 2 mires, quand elles sont situées dans le futur (voir ci-dessous la composante T4 !)

Pour commencer, rappellons que a masse est définie en volume parce que, moyennant un indice variable sans dimension, elle est un volume d'éther replié localement sur lui-même.     

Rubicube à 9 facettes par face

Le champ de Navier-Stokes est un champ de traîne qui se définit par une accélération sur chaque point de l'espace qui le constitue; ce que les physiciens qui utilisent cette équation ne spécifient pas, c'est que cette accélération est soit due à un mouvement centripète, soit centrifuge; il se pourrait même que toute "traînée (comme celle de Karmann)' soit uniquement centripète, mais pour mieux le décrire il faut trouver son attracteur principal.. A suivre pas à pas.

Comme mon copain le décrit magistralement, le champ de Navier-Stokes est comparable à un cube de Rubic (à m faces.. et à n facettes, chaque point considéré présentant une facette orientée sur le centre). Le cube de Rubic possède un centre comparable exactement à un attracteur.

2. La composante T4   

Pour ceux qui m'ont suivi jusqu'ici, j'ai souvent souligné que toute existence dans la 4 ième dimension était due au double sens, à l'intérieur d'une réalité objective, de 2 impédances acoustiques. Or le carré de l'impédance acoustique  se calcule en v², soit des m²/sec² ... Et pourtant ci-dessus nous parlons d'un trajet dans l'espace-temps de ces impédances en m². sec²  . Voilà qui est troublant, car la division entre les deux grandeurs forme une composante en sec4 , soit du temps4, ou T4 !     

Les mires sont des images/dampers constituées uniquement de temps², et non d'espace² comme nous le pensions au départ.

Nous avons tant cherché après cette composante, pour remplacer r4 dans l'équation de Poiseuille pour en fabriquer une autre équation (l'équation de surunité), que voilà qu'elle se présente à nous juste au tournant du chemin..  

Equation des mires

3. Position de Navier-Stokes face au principe d'équivalence

Revenons au champ de traîne: pour commencer à mieux situer l'attracteur de Navier-Stokes, il faut faire dériver* ce champ d'accélération du principe d'équivalence et de celui des 2 mires synchronisées.

Essayons d'abord de répondre à cette question: "Le système océan est-il influencé par le passage d'1 sous-marin entre ses eaux ?" 

Le principe d'équivalence est la plus simple expression de la conservation de l'énergie totale d'un système et le voici: "En valeur absolue et sans considération d'interaction, quelle que soit l'énergie mécanique entrante d'un véhicule en mouvement apportée à un système de fluide sous pression, cette énergie mécanique n'affecte et ne change pas la pression ou la densité d'énergie de ce système". 

Prenons l'exemple de cet engin extra-terrestre plongeant dans l'eau en 1971 devant un sous-marin de l'Us Navy: il fait passer l'eau qui se trouve devant lui, à l'arrière, pour la remplacer, (à la molécule près !). Rien n'a bougé, au final, ni au niveau local, ni dans tout le système. Voilà pourquoi une gerbe d'eau passe autour de lui.

Cet engin a "bien voulu" se montrer en train d'appliquer le principe d'équivalence à la lettre; mais en fait il peut évoluer dans le champ de Navier-Stokes (qui est notre monde en 3D) puis ensuite passer dans l'alignement des mires du futur sur son propre appareil; à ce moment-là, il nous est complètement invisible et inatteignable. 

Au sujet des allées de Karmann et des mires, nous allons prendre l'exemple d'un projet de ce sous-marin en cours de réalisation..

Sous-marin futur

Ce projet de vaisseau est intéressant parce qu'il interpète de façon mécanique en 3D une difficulté qui n'a pas échappé au lecteur de ces lignes: quelle que soit la destination d'un véhicule et le milieu dans lequel il évolue, il lui faut offrir le moins de résistance possible au débit de remplacement. 

Et puis surtout, en fonction du principe d'équivalence, il n'est lui-même qu'un débit en sens contraire du débit dont on vient de parler ! 

Or, les traînes de Navier-Stokes n'existent qu'à cause de la réalité de l'inertie d'un véhicule et des mouvements réactifs du milieu sur sa propre forme. Et si ces deux catégories de considérations n'en faisaient qu'une seule.. Voilà pourquoi il nous faut revenir à l'attracteur qui gère ces traînes.

Une extension du principe d'équivalence indique même qu'il est impossible à un système intermittent, entrant et sortant d'un milieu liquide, d'augmenter l'énergie de ce milieu, puisque ce qui est soulevé devant (la proue d'un bateau, par exemple) est un creux à l'arrière (de la poupe de ce même bateau). Ainsi un objet utilisant strictement ce principe peut traverser les océans, ou quoi que ce soit ayant un minimum de fluidité, sans subir ni faire subir aucun dommage.. (Lire "le triangle des perturbations", de Andres alfaya, commandant sous Fidel Castro).

A suivre..

*dériver: à comprendre en langage français littéraire uniquement.

 

Mercredi 12 mai 2021

Ce matin, un personnage de la Fraternité Blanche Universelle est venu me montrer en rêve le fonctionnement d'un point extrêmement petit qui peut coulisser à vive allure dans un disque beaucoup, beaucoup plus grand que lui. Il ne m'a pas fallu longtemps au réveil pour comprendre que ce point est l'élément qui me manquait dans la représentation du diaphragme.

Message de la fraternité blanche universelle

A cet endroit très particulier, à l'intérieur du corps humain et dans chaque objet, peut se détacher une toute petite partie encore mystérieuse qui, si elle se met à coulisser, entraîne de vastes conséquences sur la matérialité du corps ou de l'objet.

Schéma de la fonction du diaphragme sur le corps humain

Cela correspond très bien au modèle du double sens des impédances acoustiques qui traversent l'objet "libérant son rotor" dans le diaphragme. Il faut donc corriger le schéma précédent pour inverser la direction du diaphragme.

Les ingénieurs qui ont créé le convertisseur de couplage ont très bien travaillé, semble-t-il ..

L'attracteur agit sur la zone de coulissage entre le rotor et le stator.

Rappel: reprenons ce que le sous-marin et son milieu aquatique représentent en langage des Immortels:

1. "Le sous-marin est une masse qui se comporte comme un débit qui remplace l'eau".. Conclusion: il est un "contenu" permanent.

2. " L'eau file vers l'arrière pour se faire remplacer, mais entoure le vaisseau continuellement.. Conclusion: elle est un "contenant" permanent. 

A l'intérieur du contenu et du contenant se loge pour chacun une "mire" qui, si elle entre en résonance avec sa réplique exacte et opposée, fait entrer l'appareil dans une autre vibration universelle. Une vibration acoustique qui relève des mondes décrit dans les légendes, et qui relève aussi des fantastiques prouesses des objets volants non-identifiés.. quand l'inertie pour ces engins n'existe plus.

 

 

Question posée sur Futura-Sciences le 21 05 2021

Bonjour,
 

Table d'harmonie d'une guitare Daniel Friederich

L'on peut voir dans certains films la cascade d'une voiture en fuite qui, pour échapper à ses poursuivants, entre dans la caisse d'un camion par la porte arrière .. alors que celui-ci est lui aussi en train de rouler. La question que je pose est: "si le camion est très très long, et qu'il roule sur le tarmac à 60 km/h et la voiture à 65 km/h, quel sera le choc sur les roues de la voiture, puis sur ses essieux et même sur son moteur quand la voiture va toucher le sol du camion, avant même qu'elle ne freine pour les 5 km/heures de différence ? - Rappel: le plancher du camion fait 60 km/heure de plus que le tarmac sous la voiture, tarmac qu'elle quitte en une fraction de seconde.

Dans cette histoire, quel est le référentiel qu'il faut considérer comme plus important: celui du camion, de la voiture ou celui des roues de la voiture ?

 

Revenons à l'attracteur censé gérer Navier-Stokes: cette équation est "tombée" à point nommé dans la composition analytique des traînées et donc au final de l'entropie.

Pour rappel, notre monde en 3D est soumis à l'entropie; le monde en 4D est lui soumis à la néguentropie, ou encore appellée: surunité.

Donc Navier-Stokes (N.S.) se présente comme une accélération qui construit la dimension en 3D de la masse dans un milieu fluide; cette façon de voir les choses peut être rebutante pour le lecteur, car il s'attend plutôt à ce que ce soit la masse et son fluide ambiant existent antérieurement à toute forme d'acélération.

Mais nous l'avons dit plus haut: l'inertie d'un objet exerce une influence non négligeable sur les allées de Karmann, qui sont un exemple de N.S..

Navier-Stokes

A l'intérieur de N.S., nous avons donc une accélération en m1 / sec2 .. Or l'impédance acoustique définie en m1 /sec1 exerce une attraction si formidable sur les traînes qu'elle est à coup sûr l'attracteur recherché par nous. cela signifierait que l'impédance serait présente 3 x dans l'équation des mires (impédance cube) si nous redivisions N.S par l'impédance. Mais peu importe de quoi est faite cette vitesse pour l'instant. Quelque chose d'intéressant se présente à nous: diviser une accélération par une vitesse donne une résistivité en 1/sec. Cette résistivité est composée donc du temps de la rotation des spins des particules non alignés sur le monde miroir de la 4 ième dimension .

De plus, je pense qu'il manque une dimension d'espace à N.S. et qu'elle devrait donc exister en m²/sec², pour être une pression active et non une résistance passive en m/sec² . Or si nous comptions sur cette pression, nous obtiendrons une masse en 4D plutôt qu'en 3D de l'autre côté de l'équation des mires .. comme c'est intéressant, n'est-ce pas ?

He oui, sur l'image de droite l'on peut voir que le monde de la 4D est non seulement le créateur, mais aussi le miroir plus que parfait de la 3D . En se réalignant (comme le spin de couleur violette ci-dessus), la résistivité des cercles du temps 3D rotatif disparaît au profit de l'alignement des axes et l'on retrouve alors de l'espace (des mètres) ainsi qu'une pression existentielle incommensurable. Cette pression est consciente d'elle-même.

Le mur vers la 4 ième dimension.

Table d'harmonie d'un piano Berchstein

Ce mur de domaine n'existe en fait que dans la 3D ; le nom de mur de "Joukovski" est attribué en hommage à cet ingénieur russe qui a pu expliquer la réalité des coups de bêlier destructeurs à l'intérieur des canalisations, quand un débit se retrouve brusquement face au mur de la "fermeture"de vanne.

Ce que le public ignore, c'est que ce mur nest pas seulement lié à la perception de la 4D; pour accéder dans cette dimension il faut aligner l'axe de spin de toutes les particules d'un corps ou objet de la 3D dans une seule direction. A ce moment-là, la masse devient translucide et franchit l'obstacle, elle est légère et plus libre que l'air et redevient ce vieux concept de "quantité de matière".

La totalité d'un peigne forme la table d'harmonie d'une boîte à musique.

Il existe une sorte d' exemple d'alignement d'axe des spins, en acoustique: c'est la table d'harmonie - celle d'une boîte à musique, par exemple - . On l'appelle "le peigne" et les "goupilles" du cylindre viennent soulever les "dents" de ce peigne pour créer une mélodie.

Ces objets m'ont toujours sidéré par la précision de chaque goupille frappant SA lamelle (voir la correspondance avec les 2 spins violets dans l'image ci-dessus).

Mais que se passe-t-il au niveau de la quatrième paire de l'octave ? Que veulent-ils me dire ? Faut-il qu'une lamelle soit activée sur un "si" pendant que sa correpondance soit activée sur un "do" ? Ou l'inverse ? ... Pour équilibrer les impédances acoustiques, entre l'objet et UNE lamelle, entre l'infini et Un point, entre un ensemble et UN élément.

Cela nécessite une certaine mise au point technique, à fabriquer un système "lamelle vs lamelle".

Du nouveau sur les vibrations sismiques !

Phase 1 de l'expérience à faible vitesse

Une vidéo sur la reproduction des séismes en laboratoire a été postée sur youtube. Il s'agit de celle-ci: https://www.youtube.com/watch?v=5JW_QPtyJsA  ... Dont voici 2 images arrêtées : une table fait un va et vient (de gauche à droite et inversément) sous 2 constructions faites d'un même matériau, mais différentes en taille.. Selon l'accélération progressive de la vitesse vibratoire, c'est successivement une structure qui se plie, puis l'autre.

Cette vidéo est superbement intéressante, elle montre que ce n'est pas la souplesse des matériaux à laquelle il faut s'intéresser. Mais bien qu'à certaines vitesses de va-et-vient du tablier, les constructions retrouvent leurs propres "compensations" aux vibrations elles-mêmes et se redressent.. par l'intermédiaire de vibrations soit plus élevées, soit compensatoires !!.

Mais surtout: ces vibrations élevées (surtout compensatoires!) ne peuvent venir qu'en "répliques" à partir du haut de la construction.

Phase 2 de l'expérience à + grande vitesse

Et c'est une découverte car jusqu'à présent, pour faire face aux secousses sismiques (et à bien d'autres choses plus accessibles), on a eu recours à des procédés mécaniques, superbes comme la boule amortisseur de la tour 101 de Tap Pei à Tai Wan, mais il fallait s'intéresser surtout au processus d'amortissement lui-même.
Donc sur ces 2 images de l'expérience, la première montre la grande tour se fracassant sur la petite, cela étant dû à un mouvement du tablier, qui fait se tordre la grande tour. Mais sur la seconde image, l'on voit qu'à une vitesse plus élevée, la grande tour trouve une "compensation" aux vibrations (elle redevient droite), alors que c'est la petite qui commence  à osciller dangereusement.

Les conséquences à tirer sont incalculables..

Onde stationnaire sortant d'un robinet

On peut d'ores et déjà affirmer qu'au-delà des apparences, le haut et le bas de n'importe quelle construction sont absolument statiques, et que c'est à l'intérieur d'elle-même qu'une construction peut chercher à compenser les vibrations entrantes externes en les reflétant à partir du haut sur le bas, et inversément sur une boucle sans fin..

Mais la question des compensations n'est pas encore tranchée de façon optimale; c'est la prochaine étape des découvertes que nous faisons ici .. ou des redécouvertes.

Mais revenons à nos constructions: à les regarder se tordre, on se demande pourquoi une onde statique de même force mais de sens opposé n'ondulerait pas de chaque côté d'un bâtiment pour compenser les forces latérales: noeud contre noeud, ventre contre ventre.

Une onde stationnaire peut être créée de part et d'autre d'une construction pour annuler latéralement les vibrations, comme sur ce schéma d'une onde stationnaire sortant d'un robinet. Il faut donc imaginer cette onde en verticalité parfaite, avec un immeuble dessiné à l'intérieur.

La boule amortissseur de la tour 101 de Tai-Pei donnait l'illusion de sa propre importance, à cause de sa masse, de sa beauté, etc. Mais sa présence a été tout de même nécessaire pour se rendre compte qu'il existe une partie "libre" ou "molle"  l'intérieur d'un corps qui, en agissant, peut transférer et refléter une vibration entrante.

coupe du monde de ping pong, chine

Reprenons sous un autre angle: toute construction possède une longueur tracée entre deux points; l'espace compris ces 2 points est dit inertiel, parce qu'il accuse des retards dans le transfert des ondes sismiques et autres. Mais il existe une façon de gérer cet espace et surtout ses retards pour qu'il cesse d'être inertiel: quand chaque partie redevient le centre de tout le reste.. C'est ce qui arrive aux adeptes du Taï chi chuan avec leur corps.

Pour l'instant donc, nous avons découvert que le haut et le bas d'un bâtiment sont des réflecteurs statiques en tout temps, des mires l'un pour l'autre, des miroirs qui se "renvoient la balle" exactement comme le font deux joueurs de ping-pong en plein match, avec leurs raquettes.

Les physiciens, faisant des calculs permanents, croient bon de déterminer la différence entre l'énergie entrante et lénergie ressortant du bâtiment sous le séisme.. Mais prenons un expmle  qui aura plutôt l'apparence de compliquer les choses: un pratiquant la lutte (wrestling, en anglais) tombe parfois sur un autre individu en se lançant depuis les cordes du ring à 3 mètres de haut.. et retombe parfois sur le sol.. en se cassant la figure ? Pas du tout, simplement il ne souffre pas du choc parce qu'il "frappe le sol" de sa main.

Ce lutteur ne se soucie pas de l'énergie entrante et sortante, il sait exactement comment compenser et/ou transférer l'onde de choc: quand il tombe au sol, il ne laisse pas l'onde de choc lui briser les os, quelque part sur sa longueur spatiale, depuis le sommet de la tête jusqu'au bout des pieds; cette onde ressort ou "est compensée" par la main qui frappe brusquement (impaction).

 

 

 

A suivre, article en construction

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12 février 2021 5 12 /02 /février /2021 15:57

Chapitre 1  :  Unités de capacité électrique : qu'est-ce qu'un farad ?

Bonjour

Dans mon analyse dimensionelle perso, un farad signifie en physique espace-temps "la porosité électrique d'un milieu (libération en 1 sec² d'un coulomb) sur 1 mètre de longueur (sous la tension de 1 volt) dans ce même milieu." Un farad est donc 1 m.sec² ( le coulomb et le volt s'annulent dans ce calcul ).

Un peu limite à comprendre. Mais nous faisons des efforts.  😁
 
 

 Chapitre 2 : Le lapin de Schrödinger

Bonjour

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Admettons que nous nous reprenions l'exemple du chat de Schrödinger, version "lapin". L'exemple consisterait en quelqu'un qui ouvre la célèbre boîte, et trouve un lapin. Il décide de le tuer (encore de la violence), mais à la seule condition que quelqu'un décide de le manger .. donc plus tard. 

La question qui se pose, dans ce genre de milieu (l'infiniment petit), est qu'entre la cause et l'effet, il y a, outre la question morale de responsabilité, la coexistence de 2 événements possibles: soit le lapin est mort parce que quelqu'un le mange "à quelques instants de là plus tard", soit le lapin est vivant parce que personne ne se décidera à le manger.

Dans les 2 cas, les 2 futurs du lapin sont méta-statiques (posés à côté de lui).

Est-ce qu'il existe dans notre monde mésanthropique des exemples où le futur influence le présent à ce point ?

N.B. : Il faut savoir que ce genre de choses existe déjà dans le monde des affaires anciennes: les antiquaires ont remarqué qu'à partir du moment où une certaine sortes d'antiquités ne VA BIENTOT plus apparaître sur le marché, le nombre de collectionneurs de ces mêmes objets s'effondre déjà préalablement.

 

Chapitre 3 :  le temps et la gravité.

Bonjour,

Terre creuse aux pôles, et griffes du Diable, comme sur Encélade.

Cette question prend sa source dans la mesure où il existe une réelle distorsion entre l'écoulement du temps à l'équateur de la Terre et l'écoulement du temps en son centre (distorsion calculable par la fonction de Lorentz). Mes interrogations se posent (mais cela a sûrement été déjà demandé) sur la relation entre la gravité et cette distorsion. D'une autre manière, la question est: hormis la mesure de la masse des très grands objets, la gravité est-elle la tension qui existe à l'intérieur de cette distorsion, sur la ligne de temps entre l' "extérieur" des astres massifs qui tournent "vite" et leur centre absolu, quasi statique ?

Seconde question: si la gravité, au lieu d'être orientée au centre (sauf comme résultante), était une sorte d' "effluve" en torsion inverse du mouvement centrifuge ? L'on comprendrait alors qu'elle soit la même partout sur la planète, même loin de l'équateur. Il n'y a encore qu'au niveau des pôles qu'il y aurait un problème, la vitesse centrifuge étant trop faible.

Mais ne possède-t-on pas déjà des photos d'anomalies constatées aux pôles sud et nord de notre planète? Et de combien d'autres..

 

Chapitre 4 : suite 1 de la troisième loi de Newton.

Lorsqu'ue pierre tombe à l'eau de toute sa hauteur h et de sa propre masse M, renvoie-t-elle par réaction à la hauteur initiale de la pierre la même quantité d'eau proportionnelle à son volume d'eau ou proprtionnelle au volume d'eau correspondant à la masse de la pierre ?

Question posée sur Futura-Sciences

La goutte d'eau qui remonte "en l'air".


------
 
Bonjour,

J'ai une question à vous poser qui me laisse perplexe depuis plusieurs mois: en admettant qu'il n'y ait pas de perte d'énergie en viscosité ou autre dans l'exemple suivant: lorsqu'une pierre tombe dans un lac à partir d'une hauteur h avec une masse M, le lac renvoie par réaction de l'eau. Ce qui est renvoyé à la hauteur initiale (de la pierre) est-elle une quantité d'eau.. (1) proportionnelle au volume de la pierre ou (2) proportionnelle à la masse d'eau correspondant à la masse de la pierre ?

Réponse de Futura-sciences

Bonjour,

déjà il n'y a aucune raison que ce soit renvoyé à la hauteur initiale. Ca peut tout aussi bien aller plus haut, ou plus bas.
La quantité ne dépend pas que du volume de la pierre, ça peut également être plus, ou moins.

Bref : ça dépend de tellement de paramètres (tension de surface, viscosité, masse volumique de l'un et de l'autre, géométrie de la pierre, etc) qu'il n'y a pas de réponse à cette question.[/QUOTE]

Réponse de Jean-Louis T. à Futura-Sciences sur ce qui précède.

Tiens.. J'aurais cru qu'en physique, compte NON tenu de tout ceci: (tension de surface, viscosité, masse volumique de l'un et de l'autre, géométrie de la pierre, etc) fatalement en principe toute "intrusion d'énergie" dans un système "amortisseur mais non destructeur" est renvoyée suivant le même angle et le même "impact" comme un/une trempoline.

1. De plus, c'est la partie la plus "délicate" de ce post: c'est encore mieux que le coup de la trempoline: un "message physique" lancé dans un milieu exotique assez "élastique" sera renvoyé mécaniquement par ce milieu.. avec sa propre substance, en échange et en lieu et place du message, et selon des modalités propres qui quantifient en fait.. le retard et le rythme du temps du milieu de la réponse.

2. Donc je pense que la masse volumique différente n'intervient pas, idéalement. 

(Suite de la discussion, ci-dessous):

En résumé, et pour expliquer les choses différemment: on peut peut-être acquérir des degrés de liberté inhabituels. Exactement comme en matière de justice, l'on peut aller partout (en démocratie) si on respecte la loi.

Donc on va partir de ce principe pour essayer de "chevaucher Pégase".
Donc tout ce qui ressemble à la conservation.. de l'énergie, je vais l'identifier en le soulignant en mauve.

Prenons un bateau: il s'appuie sur l'eau pour avancer mais en même temps il la "jette derrière lui" pour pouvoir se faufiler dans l'espace qu'il a "creusé devant lui".. J'ai déjà nommé cela: principe d'équivalence: tout le système-océan conserve son potentiel d'énergie, celui-ci n'est en rien changé par la présence du bateau.
Mais l'exemple du bateau a ses propres limites: il ne produit pas un impact majeur (intrusif) sur le système "océan".

Dans un exemple plus violent, l'océan -ou le verre de lait- doit composer avec l'irruption soudaine d'un élément "outsider" à l'intérieur de lui-même.. et en réponse à l'intrusion d'énergie effectue en urgence un remplacement par un échange recalculant très exactement, au coma (virgule, en néerlandais) près, ce qui a été.. je n'arrive pas à trouver le mot; est-ce ce qui a été "dérangé" ? "modifié" ? J'en perds mon latin: mais justement, c'est ce que je vous demandais d'une autre manière, au début de ce sujet.

De toute façon il y a des conséquences sur la modification du temps entre l'intrus et sa réponse par le milieu.. mais n'ai pas encore le système complet de cette polarité !
 

Chapitre 5 : suite 2 de la troisième loi de Newton.

Une forme qui implose dans un milieu fluide, propage-t-elle par réaction une onde de forme identique de

même format, qui grandit, grandit jusqu'à atteindre tout le milieu, aussi immense soit-il ? Faut-il tenir compte des gradients de pression dans la représentation du mouvement de sa "croissance" ? La réponse "oui" à cette question implique que dans le milieu éthérique non-résistant,

tout chose est connue à tout coin de l'Univers éthérique; voici donc en partie pourquoi une mire n'a pas besoin d'autre chose pour exister que la forme-pensée qui l'accompagne.

Nous voulez visiter la zone 51 ou le bureau ovale à Washington ? Visualisons l'endroit (la mire), si nous baignons dans l'éther. Mais oui, nous y baignons depuis toujours. 

Autre question sur Futura-sciences: "Priez pour nous, pauvres pêcheurs".

Bonjour à tous, j'ai énormément de questions sans réponses qui trottent dans ma tête mais il y en a une d'ordre pratique qui m'agace énormément .
J'habite au bord de la mer en Charente et m'adonne médiocrement à la pêche. Je pêche avec des leurres et des cannes de 2,40 m.
Pour rattacher le leurre à la canne, j'ai du fil de pêche dont la résistance m'autorise de soulever un poids de 8kg.
Les leurres sont légers il oscillent entre 5 et 30g mais il m'arrive avec les plus lourds de casser le fil au moment du lancer ( je garde le doigt trop longtemps pour bloquer le fil.)
Je pensais benoitement utiliser la formule de calcul d'énergie cinétique pour déterminer la vitesse de lancer mais je m'y casse les dents . y aurai t'il une bonne âme pour m'éclairer moi et mon cerveau brumeux? Merci
Gilles;

La réponse a été balayée, pais vais essayer de m'en souvenir.. dans l'ensemble, en soulignant par des couleurs les points intéressants des autres intervenants.

1. J'avais tenté de calculer la vitesse du leurre au moment de la casse mais cela me donnait des vitesses aberrantes plus proches de la vitesse du son que celle d'une balle de golf... 

La vitesse du son joue un rôle (Mach 1) dans les tuyères de Laval et cela reste inexpliqué: dans une tuyère c'est l'air qui a la vitesse du son (au col), là où toute la physique bascule; dans l'exemple du pêcheur, c'est le leurre qui atteint Mach 1 dans l'air.

2. Jiherve: j'ai fait un calcul rapide et si je ne suis pas gouré : pour casser du 8kg avec 30g il faudrait soumettre le leurre à une accélération de 2616m/s² 

Il n'est pas du tout certain que les accélérations d'un leurre soient en m/sec², mais elles peuvent être aussi en m/sec3, en m/sec4 ou en m/sec5.. Comparativement à la tuyère de Laval, je pense qu'il existe une acclération en m/sec3 dans le divergent d'une tuyère de Laval.

3. Gwinver: Au moment du lancer, la force est encaissée par la partie déroulée du fil, la partie sur le moulinet travaille moins.

L'encaissement de l'énergie est lié parallèllement à l'encaissement des retards pour son application! C'est un concept difficile à appréhender, mais avec celui du fil qui casse, cela va un peu mieux. Dans cet univers de la 3D, une énergie s'applique forcément à un véhicule inertiel (le fil, ici). Dans ce cas-ci, l'opposition entre la traîne et le lancer est si grande que le fil casse. Un début de solution passerait par l'inversion des dimensions d'accélération, en sec/m², sec/m3, sec/m4, etc .. pour arriver tout simplement à totaliser les secondes elles-mêmes hors des accélérations. Mais pour en faire quoi : une totalité de temps concentrée sur le fil à un endroit, ce qui est encore peu utilisable mécaniquement.

4. Obi76: Un poids n'est pas une masse, et n'est pas non plus une énergie.

La masse est indiscutablement, comme dans la partie "encaissement" qui précède, une concentration de temps-retard. Disons que l'on peut affirmer ici que sa dimension se situerait autour de m²/sec0, ou m3/sec0, ce qui au niveau mathématique et physique serait la trace conservée d'une laison avec le temps; à l'inverse (car il est par exemple tout aussi judicieux de parler d'une vitesse normale d'un véhicule en m/sec ou en sec/m, cela ne change rien), l'on perçoit une sorte d'effondrement du temps à parler de sec0/m2 ou sec0/m3.

Bandes d'émanations sur ce drapeau américain de 1914-1918, collection perso.

Mais ces affirmations précédentes sont d'un ennui prodigieux: l'encaissement des retards, comparativement à l'encaissement de l'énergie est bien plus ressemblant aux propriétés de l'alignement sur les grandes bandes d'émanation, un concept de sorcellerie toltèque. Une partie de nous-mêmes, et une partie de chaque élément qui nous entoure perçoit et "détaille" physiquement les longueurs d'onde sismiques, acoustique, électromagnétiques en étant comme sur une île qui reçoit les vagues; et une autre partie  de nous-mêmes et de tout élément qui nous entoure effectue une totalité (en cash) des moments d'apparition et des temps de disparition de toutes ces vibrations.

Certaines émanations et certains actes de notre vie (comme le lancer d'un leurre avec une élastique) présentent des contrastes si puissants entre les moments et les temps, que ce sont les moments qui l'emportent: leur énergie "déborde" sur les temps et les éclaire, en changeant la physique des choses, purement et simplement, sans que le modèle ondulatoire ne trouve d'explication.

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L'idée de ce flag a été offerte par un Immortel à George Washington

Le changement de la physique de l'encaissement (cash) d'un élastique, d'un barrage ou d'un avion détruit cette élastique, ce barrage, cet avion.

Un exemple étonnant de l'alignement des bandes d'émanations est représenté par la bannière étoilée américaine. Il a été proposé par un étrange personnage sorti de nulle part, alors que les troupes de George Washington essayaient de s'inventer un drapeau pour l'Amérique après leur victoire potentielle sur l'armée anglaise.

Ci-dessus, drapeau de guerre (coll.personnelle) avec la désignation de l'encadré et des bandes pour mettre en lumière ce que ces alignements signifient.

 

A suivre, article en construction..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
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30 décembre 2020 3 30 /12 /décembre /2020 21:15

Bonjour,

A chaque fois que l'on se penche sur l'équation de Navier-Stokes, l'on ressent un vide insondable. Mais aujourd'hui, il va de soi que ce vide correspond, pour celui qui l'examine, à l'interrogation

fondamentale d'inscrire N.S. dans la "Nécessité": dans quel ordre événementiel s'inscrit-elle ? Et pourquoi semble-t-elle si déconnectée de la Réalité et donc si rébarbative dans son explication ?

Nécessité = Réalité

Parce qu'elle n'est qu'une part du fonctionnement du passage d'un événement passé à un événelent futur, dans l'écoulement d'un liquide contenu à un endroit, qui file précisément vers un autre endroit. Dans l'écriture mathématique, le débit de ce liquide subit une pression p et une viscosité µ  (ci-dessus à droite de l'équation) qui

correspond, (à gauche de l'équation) à un différentiel de vitesse par le temps + un gradient de vitesse en proportion de l'espace de cette même vitesse.

               Ce qui est très intéressant sur l'image ci-dessus c'est que le tout premier signe (rho ρ   ) correspond à la masse d'un liquide divisé par son volume. Ce signe devrait rendre l'équation caduque au niveau des dimensions utilisées, mais il faut le considérer mathématiquement comme un nombre sans dimension, juste un "coefficient" supérieur ou inférieur à 1 . 

la carène est la partie du bateau sous l'eau

Passons de l'équation à la fonction..   Récapitulons: N.S décrit une fonction d'accélération au sein de n'importe quel écoulement, soit un débit sortant d'une canalisation, par exemple, soit 1 débit de "remplacement".

Navier-Stokes ne saurait être utilisée dans l'état actuel de sa présentation; si l'on définit une accélération comme étant un effort associé à une masse, la somme des "efforts" décrits dans N.S. est égale à zéro, quand on met tous les termes du même côté de l'équation. Dès lors les physiciens se heurtent au mur infranchissable (sans la philosophie) de l'impossibilité de saisir de où vient l'énergie, de comment elle se distribue, et donc l'incapacité de décrire le mouvement des fluides sans commencement ni fin.

Revenons au débit de remplacement: c' st la quantité d'eau déplacée par la carène d'un bateau en mer, par exemple, quantité dont la norme est fonction de sa vitesse et de son volume.

[Pour la petite histoire, ce débit de remplacement soulève un curieux problème, car un volume d'eau

déplacée, multiplié par une vitesse, donne une quantité de mouvement (en m4/sec) et non pas tout-à-fait un débit en (m3/sec), mais ce sont bien les m3/sec que nous retiendrons pour l'instant.]

A partir de maintenant, pour effectuer de nouveaux calculs mathématiques, il va falloir choisir parmi .. 2 versions philosophiques dans l'analyse cinématique du déroulement de l'existence d'une réalité.

Soit nous admettons que nous vivons dans un monde d'objets en 3 dimensions d'espace, et dans ce cas, paradoxalement, nous n'admettons pas que les objets puissent à chaque instant apparaître et disparaître comme des images de cinéma; soit nous admettons que ce que nous voyons est le résultat apparent d'un monde en 4 dimensions, et dans ce cas il nous faut reconnaître et rejoindre le rythme terrifiant de l'éternité pour  faire apparaître les pbjetzs, là où ils doivent apparaître.

La fonction de Navier Stokes est intéressante parce qu'elle traduit à l'intérieur des débits (de Poiseuille!) non pas les charges idéales (de Bernoulli !) mais bien les accélérations de sens différents qui se combattent par groupes mutuels, pour se réduire mutuellement à néant.

Et dans ce cas, que reste-t-il après Navier-Stokes s'il est égal à 0 ? En principe.. rien.

Mais ce serait sans compter philosophiquement sur "l'obligation de résultat": un débit sort d'une canalisation parce que l'eau DOIT couler; une masse d'air s'écoule le long du fuselage d'un objet volant parce que cet air DOIT se retrouver derrière l'objet. N.S ou pas N.S

Donc entre une acc. de Navier-Stokes et un débit, il y a une variable qui manque à l'appel . Cette variable se calcule en divisant le débit par l'accélération:  les (m3/sec)  / (m/sec²) donne des m². sec ; or les m². sec ne correspondent dimensionnellement à rien de connu.

C'est ici qu'il faut faire quelques pas phisosophiques supplémentaires: l'obligation de résultat ne donne pas tout-à-fait un débit; lorsque l'on fait couler l'eau d'un robinet, c'est pour obtenir la juste quantité d'eau nécessaire répondant au besoin. Cette quantité est une nécessité qui se présente sous la forme d'une masse.  Entre les deux, dans la division des m3 / (m/sec²), nous obtenons des m². sec², ce qui correspond au carré d'une conductance.

Poiseuille, sa loi

En attendant d'aller plus loin, tous les véhicules à la surface de cette planète subissent une opposition considérée donc comme une traîne ou débit de remplacement dans lequel ils évoluent. Mais admettons même qu'il n'y ait pas d'air, que reste-t-il à ces véhicules comme opposition ? L'espace lui-même !!

Jusqu'à présent, dans bien d'autres articles, nous avions vu que dans une canalisation, les sections de départ  et d'arrivée d'une canalisation étaient en quelque sorte des mires "qui se regardent", composées donc dimensionnellement de mètres4 . D'ailleurs, Poiseuille parle bien de r4 dans sa formule. Pour rappel:  [ pi. r4 = section² / pi]

Aujourd'hui, en utilisant Navier Stokes, nous voyons qu'en fait les 2 mires sont plutôt composées de m². sec²; nous avons donc avancé vers la dématérialisation de l'espace, par un simple jeu mathématique, et nous avons compris que les efforts (accélérations) que l'on fait sont des étapes d'une nécessité à une autre (d'une mire à l'autre).

Donc aujourd'hui, chaque mire devient un espace . un temps, et ensemble, en se croisant, les mires sont donc des conductances croisées en m².sec².. Ces 2 mires ne sont pas encore complètement alignées l'une sur l'autre, entre deux sections d'une même canalisation. Car l'une tourne, et l'autre .. pas.

L'équation de la masse

Une masse peut être définie comme étant un courant d'éther croisé et se répercutant sans cesse entre 2 mires ou réflecteurs. L'accélération de Navier-Stokes n'y est pas pour rien dans la "lourdeur" de la masse (nous verrons cela plus tard). Ce courant d'éther est malheureusement inertiel dans notre monde et se restreint dans une conductance (en m/sec) à l'aller, multipliée par la même conductance au retour (total: en m²/sec²)

La composante T4   

Equation de masse

Pour ceux qui m'ont suivi jusqu'ici, j'ai souvent souligné que toute existence dans la 4 ième dimension était due au double sens du croisement (multiplication), de 2 impédances acoustiques partant de 2 extrémités réflexives: les mires; contrairement à notre monde en 3D, où une cause (mire) est située dans le passé (le but prédéfini), l'autre dans le futur (le même but.. mais à atteindre)... dans la 4D, les mires se situent toutes les 2 dans le futur. Nous y vivions autrefois, mais ceci est une autre histoire.

Pourtant notre monde actuel en 3D est un secteur de la 4D, qui y fait régir sa loi. Car le carré de l'impédance acoustique  se calcule en v², soit des m²/sec² ...  

Les mires sont des images/dampers constituées uniquement de temps², et non d'espace² comme nous le pensions au départ.

Nous avons tant cherché après cette composante, pour remplacer r4 de l'équation de Poiseuille pour fabriquer l'équation de masse, que voilà qu'elle se présente à nous juste au tournant du chemin..  

L'on peut effectuer d'autres variations sur Navier-Stokes; l'un des 2 termes de l'équation s'occupe de la composante latérale de l'énergie en activité dans un flux laminaire ou turbulent; l'autre, le terme à droite de l'équation s'occupe de la composante frontale.

Or il y a un monde de différence entre la densité d'énergie/surface² entre le terme de gauche et le terme de droite, si on compare la répartition.

Ce qu'il ne faut pas oublier dans cette description, c'est que les deux termes de l'équation ci-dessus sont deux fonctions à part entière, bien que strictement égalitaires; elles concernent donc le même écoulement de fluide, vu de deux manières différentes, mais en MEME TEMPS ! Donc entre les 2 S², il s'exerce une tension (représentées par un simple coefficient de proportionnalité) qui se situe à l'intérieur de l'écoulement du fluide, non pas seulement entre les 2 énergies identiques, mais bien entre les unités dimensionnelles de chaque côté.

Prenons E2 = énergie frontale S²(b) x acc  et prenons E1 = énergie latérale S²(a) x acc .. ; le rapport entre les deux doit toujours être de 1, contrairement au nombre de Reynolds, parce que tout simplement nous avons affaire à une équation qui concerne le même écoulement. 

Donc la disproportion entre les deux croisements de surface doit être compensée par son inverse au niveau des segments internes aux termes de l'équation !

Navier-Stokes / masse

Ceux qui étudient Navier-Stokes sont ennuyés par les "forces d'inertie".. Pour moi, l'inertie est liée à la masse des fluides en mouvement.

 

Nous avons cru bon de découvrir l'équation de masse en faisant intervenir Navier-Stokes; maintenant nous n'avons plus besoin ni de l'une ni de l'autre, comme vous le constatez ci-dessus: en divisant l'équation de la masse par la masse elle-même, nous obtenons uniquement des "fuides" en mouvement débarassés de toute considération statique anthropomorphique.

Continuons

Formule de l'ordre des lois

La planche de formules ci-dessus va encore évoluer (voir ci-dessous); elle met en avant la caractéristique dimensionnelle de la lévitation (antigravité) dans ce qu'il faut appeller un flux de fronts de temps croisé (chacun en sec²), ce qui lui donne une quatrième dimension de temps (sec² x sec² = sec4).

Formule de la lévitation sonique

La notion de transitivité varie selon les paliers cosmiques: on détecte de gigantesques "lignes" électriques entre certaines planètes et leurs satellites à cause du gigantisme rapproché de leur centrale (la constante k de Coulomb est modifiée). Il en est de même pour les lignes de lévitation (la constante G est modifiée).

Nous voyons ici que la lévitation (fronts-surface croisés du flux du temps) est égale au carré de la résistance x le carré de l'impédance, sans rien changer à la constante de coulomb ni à la constante G  .. En mathématique, cela donne :  lévitation en sec4 = 1/res²  . 1/imp² selon l'équation holistique   ; attention cependant, les 1 qui précèdent ont une valeur variable, car nous pour l'instant nous ne travaillons ici qu'en analyse dimensionnelle.

Vortices autour du passage d'un avion

Dans l'aventure qui consiste à  découvrir les tout derniers tenants et aboutissants de la loi de polarité, nous nous penchons avec intérêt sur cette fonction de Navier-Stokes qui est rebutante à plus d'un titre. Par exemple, elle devrait tenir compte de l'objet sur lequel elle s'applique (elle décrit les mouvements accélérés des fluides autour d'un avion par exemple), mais rien dans son expression n'en fait mention.

Où est passé l'avion ?

Effectivement, si l'on parle d'un champs spatial, il y a moyen de situer un objet. Pareil pour le temps.

Mais comment situer l'objet dans un champ d'accélération ..

 

 

A suivre, article en construction

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14 décembre 2020 1 14 /12 /décembre /2020 11:16

La nouvelle physique consiste à émettre des postulats, ce qui n'est qu'un début. Mais ensuite, ces postulats peuvent se "croiser". Et l'on peut tenter des expérimentations.

Pour l'exploration des abysses, le premier postulat à retenir est qu'une l'implosion d'un ensemble vide, au milieu d'un liquide ou un gaz, entraîne un afflux de ce même fluide non pas à une accélération ordinaire en m/sec², mais bien en accélération divergente en m/sec3, pour remplir ce vide soudain créé.

Champ sigma /intensité acoustique/ vide quantique en E = c3
Exploration des abysses / Attention aux Sirènes

Le second postulat à retenir, est que si un champ électrique se définit et se matérialise effectivement par un mouvement de charges dans champ d'accélération ordinaire en m/sec², le champ électromagnétique étant lui-même une variation de ce champ électrique, se calcule lui aussi en acc. divergente en m/sec3.

Le troisième postulat est que le couplage de 2 émissions élctromagnétiques extrêmement locales (fréquence à définir) s'effectue dans l'espace rapproché et le temps simultané, les vagues de divergence auxquelles les fluides sont très sensibles vont se "confronter" pour établir une pression locale indépendante de la pression ambiante.

De chaque côté d'un scaphandre, on peut adapter 2 émetteurs d'onde EM pour protéger l'homme ou la femme grâce au front d'ondes.

Théorie adaptative / Divergence x front onde = champ sigma / avertissement : "Attention au champ des Sirènes"

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12 décembre 2020 6 12 /12 /décembre /2020 11:20

Bonjour,

L'étincelle..

Ce mot est très peu documenté sur le web.. Et il semble que la physique considère cette sorte "d'allumage" simplement comme "les toutes premières molécules de la combustion". Comme celles issues d'un silex, par exemple. Wikipédia parle aussi d'un petit arc électrique.

Mais est-ce suffisant? Connaît-on vraiment ce qu'est un feu, et ce qui le fait donc démarrer ?

Pour ma part, je n'arrive pas à me retirer l'idée qu'à toute explosion, ou à toute combustion, il y a au moins au départ une (très petite) implosion, un effondrement.

téléportation
Unités choisies: v = vit, c= vit lum., press= densité de E en vit cube

Cette minuscule implosion produisant une réaction spectaculaire, à la mesure de la quantité de matériaux servant au feu.
Dans le cas d'un arc électrique, on y voit aussi une sorte de dé-flagration en une quantité de temps infinitésimale.

L'étincelle est comme l'image sur la pellicule d'un film caché, placée devant un projecteur qui va la montrer au public. Elle est dès lors contenue dans un écrin placé dans la structure du vide, du non-être.

Il existe une théorie qui dit que si l'on retourne à l'origine des causes, et bien l'on cesse de faire partie de leurs effets. 

Effectivement, si les événements ont lieu dans un sens, ils peuvent aussi aller dans l'autre sens. Le feu représente la manifestation d'un événement, qui a toujours lieu à un endroit de l'espace-temps, dans cette réalité de souffrance/résistance.

Que faut-il placer dans l'étoile ?

Mais la cinématique de cette dimension peut retrouver son souffle créateur et nous franchirons l'obstacle de la localité.

Pour expliquer l'image ci-contre, il faut éclairer la lanterne de ceux qui n'ont pas tout suivi de ce blog jusqu'ici..

Commençons par une question: quelle est la différence entre ceux qui vivent dans la quatrième dimension et ceux qui vivent dans la 3 D

Réponse: le niveau vibratoire est beaucoup plus élevé et beaucoup plus rapide dans la 4D que dans la 3D; cela, tous les new-agers le savent déjà, mais n'ont pas l'explication. Alors la voici;

La création d'un événement dans les 2 zones de perception, se fabrique dans une ultime dimension (hors zone 4D ou 3D) où "tout est déjà commencé, continué et terminé". Cela se manifeste concrètement par l'installation, dans une canalisation vous amenant de l'eau à domicile, en une série d'images d'eau intégrées sur tout le parcours du canal, images qui vont être "animées par 2 courants opposés", entre le début et la fin de l'événement.

Dans la 3ième dimension, ces images sont animées donc par un courant d'impédance acoustique très rapide qui remonte du futur vers le passé; et en sens inverse, et pour terminer, le véritable débit d'eau remonte du passé vers le futur. Le seul événement que nous percevons dans la 3 D est le flux d'eau qui coule depuis le robinet. 

Mais dans la 4 D, et c'est là qu'intervient la différence, qui est aussi l'explication de l'image des 2 bateaux, il existe 2 flux d'impédance acoustique qui se croisent; pour cela, il est évident que le passé existe beaucoup moins dans la 4 D: car ce sont 2 flux qui se situent dans l'avenir, qui se croisent dans la dimension de ceux qui ont la chance d'y vivre.

Exemple: dans l'eau la vitesse de l'impédance acoustique est de 1400 km/sec.

Concernant les bateaux (en réalité il n'y en a qu'un seul, pusique l'on parle de téléportation) il n'est point nécessaire pour lui, en passant par la 4 D, d'effectuer un fastidieux voyage entre le point de départ et l'arrivée: tout part d'"une théorie ancienne, sur laquelle je travaille, et dont je n'ai pas envie de trop parler, puisqu'elle n'est pas aboutie pour l'instant: il faut faire une incursion même très brève, dans la 4 D. 

Merci pour votre attention.

 

 

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30 novembre 2020 1 30 /11 /novembre /2020 14:39

Lorsqu'un véhicule effectue un mouvement dans un fluide liquide (eau, par exemple) ou gazeux (air), l'énergie de ce mouvement est en partie guidée et en partie "invalidée" par ce qu'on appelle "la traînée".

Il existe une sorte de "traînée" qui prend beaucoup d'énergie au mouvement d'un véhicule, et qui obéit à un signal: ce sont les allées de Karmann !.

Nous avons déjà étudié le modèle du double vaporisateur pour expliquer leur fonctionnement, mais la dynamique du signal à la base de ses "entrelacs" est intéressante à étudier. 

 

L'image ci-dessus montre une autre sorte de traînée, mais l'on voit des volutes de fluides tourner sur eux-

Karmann streets, tourbillons liés

mêmes, cherchant à accompagner le "débit central".. 

Un obstacle (comme une pierre au milieu d'une rivière, ou un bateau au milieu de cette même rivière) au milieu d'un fluide en progression peut créer ce type de figures, tout comme un objet se mouvant dans un fluide statique, ou les deux à la fois.

Il existe 3 sortes de débit lors d'un déplacement de quelque chose dans un fluide.

1. Peu importe le cas étudié, ce qu'il faut savoir en tout premier,  c'est que tout fluide évoluant autour d'un obstacle statique ou en mouvement, est le débit de remplacement de cet obstacle. C'est ce débit qui crée la tension entre les vagues d'étrave et les vagues de poupe, en passant par les vagues latérales, comme sur l'image du sous-marin U 31, ci-dessous. "Ce qui est devant, doit se retrouver derrière" très rapidement sur son "couloir".

2. Ensuite, ce qu'il faut savoir de toute urgence (he oui!), c'est que: tout obstacle à l'encontre d'un premier fluide, joue exactement le rôle d'un second fluide au milieu du premier.

U 31 sous-marin allemand en 2005, mer baltique

Prenons l'exemple d'un sous-marin en surface: sa capacité (partie immergée liée au tirant d'eau) à confronter l'eau semblait (autrefois) liée à sa "valeur de déplacement" . Les physiciens considéraient en effet qu'il faut quantifier la capacité d'un bateau pour déterminer sa collaboration au principe d'Archimède.

Et donc ils appellaient sa "masse immergée": "la quantité de déplacement" du sous-marin; c'est une erreur étrange mais propre à une vision statique des choses. En réalité, une masse en déplacement n'est rien d'autre que comparable elle-même à un débit de fluide, comme cela est symbolisé dans la première image de cet article. 

3. Le dernier débit à considérer est la traînée (ici, du sous-marin). Elle est la dernière réaction (oublions les tourbillons de l'hélice, en imaginant que ce navire se meut pour l'instant avec des voiles (!).

La traînée est cette force venant de la mer qui va chercher à combler le vide créé par "la dureté" du passage du navire sur l'eau. Le problème n'est pas que cette traînée existe.. Mais bien que sa force réactive n'est pas assez grande pour aider le navire.

Pour une allée de Karmann, le signal est latéral. Il faut le transformer évidemment en signal longitudinal.

La nouvelle version du principe d'équivalence.. nous emmène sur un terrain inconnu.

Pour ceux qui ne croient pas en l'universalité de l'entropie (qui se manifeste pratiquement par une résistance ou une perte d'efficacité dans l'utilisation de l'énergie) nous avons dû revisiter la loi de Bernoulli. Sa version Nouvel Age est donnée en fonction du principe d'équivalence: "Quelle que soit l'énergie apportée à un bolide (comme un bathyscaphe) dans un système de pression homogène, la valeur absolue de

Bernoulli revisité. Cette loi signifie que P est sans influence.

l'augmentation de pression sur le bord d'attaque d'un foil (ou de l'avant d'un sous-marin, sur l'étrave) est égale à la valeur absolue de la dépression latérale et arrière de ce foil (ou sur les côtés et à la poupe d'un sous-marin).

Cela nous amène à un aspect tout-à-fait propre au monde de la 4 ième dimension, qui est une facette du principe d'équivalence: Quelle que soit la densité d'énergie mécanique apportée à 1 élément d'un système fluide sous pression, cette densité d'énergie ne peut affecter et donc ne peut changer la pression de ce système.

Voilà pourquoi un bâtiment sous les mers peut être là sans être vu et sans affecter le milieu ni les instruments sensés le détecter.

 

 

A suivre, article en construction

 

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