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8 avril 2024 1 08 /04 /avril /2024 18:12
Mars et, paraît-il, ses vraies couleurs. Tout cela est à vérifier par nous-mêmes

Suite à l'article "De la sonotronique à l'invisibilité", nous allons voir comment il est possible et assez facile de lancer un engin vers Mars.

Mars possède une signature enregistrable en temps réel, une signature acoustique étrange et spécifique, comme pour toute planète.

Cette signature peut être envoyée dans le vaisseau par l'intermédiaire des 2 volutes latérales, augmentées d'un apport ultrasonique, pour se répercuter dans la zone de la mire.

Cet apport se recombine en une onde double et parallèlle, dont les ventres sont des "corps" sans intermédiaires; le mode ondulatoire devient "corpusculaire", même si l'on parle ici de corpuscules de la taille d'une planète.

Dès lors, Mars devient la mire elle-même; il faut veiller à ce que cette signature ne soit pas ancienne, sinon l'appareil se retrouvera dans le passé de Mars, et donc de la Terre.

Vue de notre monde, il s'agit d'une planète "ayant la forme d'un corps rond"; vue de l'autre côté (secteur de l'impédance sonique") il s'agit d'émanations plutôt stationnaires, de type ondulatoire: les ondes de torsion de Nikolaï Kozyrev. L'appareil se déplace dans l'invisible (pour nous ici), mais pour lui, c'est un monde de vagues immenses. Ces vagues peuvent devenir des bulles étranges, s'il existe un courant entre Mars et la Terre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Article en construction /  A suivre

Sur ce qui suit, on peut déjà remarquer une forte évolution dans la mesure où les sons font "corps" avec l'outil utilisé. Les sons proviennent de la mire elle-même et la cible est ainsi "verrouillée" sur elle-même.

Outil stratégique à impaction dirigée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous travaillons en ce moment sur l'équation du processus de la résonance acoustique en puissance intermécanique.. 

Le modèle recherché est celui d'une résonance dans les puissances acoustiques (uniquement, au départ), parce que l'éther, les sons et le Temps ne sont qu'une seule et même entité.

Et la résonance acoustique, déterminée comme nous l'avons vu par deux sources de sons qui par la suite fusionnent par réflexion, doit être retrouvée et justifiée dans une seule équation, qu'elle soit intermécanique ou pas.

La comparaison avec l'équation de Poiseuille

L'idée nous est venue de l'équation de Poiseuille sur les débits. (Rappel: nous nous rapprochons toujours plus du processus d'un débit d'eau sorti d'une pierre frappée (..soniquement) par Moïse à l'époque de l'Exode).

Regardons cela de plus près

De par la simplification des unités espace-temps, nous savons que le facteur r4 est un rayon en m4, que la viscosité êta est en m²/sec, que la longueur l est en mètre, et que la pression différentielle est en m²/sec².. et bien entendu, le débit qv est en m3/sec..

Donc, regardez la transcription mathématique de la fraction, en oubliant pi et 8, qui ne sont que des nombres sans association avec l'espace-temps (ici).

 

Tout de suite, ci-dessous, une image de cette transcription..

.. où nous voyons que ce brillant physicien est passé par le carré d'un débit, en m6 / sec2 pour revenir à un débit simple comme résultat, ce qui est très étrange en soi, mais pas interdit.

Trou noir acoust. à esp/temps recourbé sur lui-même

Nous devons pour l'instant reparler de Poiseuille parce que nous avons oublié le "point de fuite" inhérent à son explication dans les débits ordinaires.. avec ses calculs, une pression est un différentiel (p2-p1), comme nous l'avons déjà précisé. Autrement dit, même si 2 manomètres calculent une pression identique à 2 endroits d'une canalisation, le point de fuite est "l'évacuation" de la pression, dans un sens plutôt que dans l'autre, grâce au débit.

Comme un débit (m3/sec) est une conductance (en m.sec)  multipliée par une pression (en m²/sec²), alors (débit1 -débit2) = (m1/sec1). (p1) - (m2/sec2).(p2) = débit final

Dans quel sens vont ces débits 1 et 2 ? L'un est très clairement la résistance de l'autre.. : et nous en revenons à l'impédance acoustique, qui est en fait une conductance qui "remonte" le courant à l'intérieur de l'autre, une conductance de signe "moins". Il existe donc quand même une résonance entre ces 2 débits.

La parfaite résonance des puissances acoustiques de même fréquence

 

Comment traiter de cela avec les puissances, en m5 / sec3 ?.. C'est très facile et très tentant, comme tout ce qui se fait en simplification des unités E/T.

Donc nous devons multiplier les puissances des 2 signatures acoustiques par elles-mêmes (voir le dessin ci-dessus: "en route vers la planète rouge") pour obtenir un carré de puissance en..

                                          P =   (m5 / sec3) . (m5 / sec3)    =   m10 / sec6 

Ce commencement de programme est bien joli; mais l'objectif est de revenir d'une part à un effet de puissance, matérialisé dans le modèle du vaisseau vers Mars par une vélocité (qui transcende l'espace-temps) dépendant clairement d'un futur préalablement imposé.

Ce qui est préprogrammé, c'est le résultat bien sûr.

Le carré des puissances est une résonance parfaitement synchronisée. Une puissance intermécanique entretient une résonance en boucle dans les 2 sens de son action..

Une puissance en m5/sec3 se communique en 4 dimensions (en une forme) si elle est intermécanique. Elle se transfère par réciprocité, en laissant tout le système autour dans l'équilibre initial, tout en imposant donc une intention qui se matérialise dans l'univers et sur le terrain: une "forme". cfr : le stéréoscope de Brewster

Cette forme est une "nouvelle venue", apparaissant n'importe où à l'intérieur de ce système. Son énergie bouclée par la synchronisation lui confère même une "vie".

Pour en revenir à la dernière équation de puissance P², il faut à un moment donné la rediviser par un élément modérateur P1, pour arriver à un résultat P2 .

Rapport Cometa: appareil exotique pris à partir d'un sous-marin
Relation entre la vitesse d'un véhicule.. (exotique) et le vide

Il est tentant de fabriquer un engin de type exotique, avec des miroirs de Kozyrev comme réflecteurs internes de puissance sonore. Mais, même si nous possédons les "propulseurs" acoustiques, il est nécessaire de savoir dans quoi nous nous engageons avec une telle technologie.

Comme nous adorons nous débarasser en priorité des idées reçues de la physique, parlons alors de quelque chose enseigné partout: la constance du débit (aire x vitesse) dans une canalisation, quelle que soit le changement de section (aire).

Resserrement millénaire de l'Escaut, et débit apparent "normal". Photo RTBF

Autrefois, le fleuve Escaut traversait une petite ville de part en part.. et à un endroit donné, sa section rétrécissait. Comme les bateaux remontaient le courant vers la source, ils devaient affronter une plus grande vitesse de l'eau, avec bien plus d'énergie. Selon la version officielle, le débit confronté était égal à lui-même, dans cette petite section, comme dans une autre section plus large.

                                              débit =  (airesection x vitesse) = (a1v1) = (a2v2)

Mais, comme nous l'avons dit plus haut, il n'en était rien. S'il fallait plus d'énergie au bateau pour compenser la vitesse de l'eau, de où venait justement l'énergie supplémentaire de l'eau ?

Les physiciens disent que l'impulsion et l'énergie n'ont aucun rapport avec le débit, qui est une autre sorte de considération. Pourtant, même l'équation du débit (ci-dessus) est vraie sur le long terme, mais pas à court terme. Le temps et le vide y sont pour quelque chose.

           Si un fleuve rétrécit de section grâce à des ventaux latéraux, par exemple, la brusque interception latérale du débit pousse le fleuce à augmenter sa hauteur dans un premier temps.

La pression monte à l'endroit du resserrement. Rapidement, le vitesse s'accroit en aval et donc la pression et la hauteur de l'eau redescendent. Mais il se passe un phénomène nouveau: la hauteur d'eau s'effondre plus bas encore qu'avant, ainsi que la pression. Cela se remarque beaucoup mieux sur les torrents (fleuves en pente plus dure).

La différence de hauteur, dans ce court intervalle de temps entre la haute pression et son bas niveau obtenu ensuite, crée un diffférentiel qui correspond à la mesure d'un vide, en permanence. Ou plus exactement, qui correspond à l'appel du vide, qui se traduit sans cesse par une plus grande vitesse en aval.

Le vide est inscrit dans la vitesse / Et il a fallu du temps pour l'installer

Préambule: Selon l'intelligence artificielle (IA Bing), ( "par analogie avec la théorie du corps noir") les unités dimensionnelles d'un vide acoustique sont des watts/mètres2, même si, selon IA, un vide acoustique ne peut être un vide complet de matière. Or des W/m2 sont des m3/sec3.

Pour l'équation, il faut savoir qu'une augmentation de pression locale delta P correspond à une réaugmentation de la section delta S: or  Dp / Ds  = (m²/sec²)  / m²  = 1 / sec²

                                       Equation du vide =  débit Q(v) x Dp/Ds

 

Cette équation donne donc des m3/sec3

Voir la video du "vortex physics in action"

La puissance de la dépression du vide est celle du vide acoustique.

   L'équation du vide dans un écoulement est donc situé en plein dans l'acoustique, et correspond au cube de la vitesse de l'écoulement.

Revenons à la partie Dp/Ds décrite plus haut dans l'encadré (rouge). Pour la petite histoire, souvenons-nous que la constante de gravité universelle G se situe exactement dans le facteur d'accélération que l'on nomme justement "fréquence carrée" en 1/sec². Oui, la constante G dans l'interaction gravitationnelle, comme la constante k de Coulomb en interaction EM, est située dans cette gamme de vibrations accélérées (fréquence carrée).

Pour notre voyage vers Mars, c'est intéressant.

Parce que nous savons à présent qu'à toute accélération dans l'Univers correspond au même endroit une opposition équivalente de "densité de pression", venant de l'Univers lui-même, qui cherche toujours à rétablir l'ordre selon lequel toute particule est, et doit rester, au centre de l'Univers, qui est partout et nulle part, depuis le Big Bang.

                      Valeur absolue de (- Dp/Ds)  = valeur abs. de + G (accélération)

Etant donné le signe + de G accélération attractive, (-Dp/Ds) est un facteur de densité de pression répulsive.

Il est dit plus haut que cette densité de pression vient de l'Univers lui-même; oui, mais à certains endroits, par exemple à la surface de la Terre, la "force" répulsive est beaucoup plus grande que dans l'espace. De plus, selon la théorie des ondes de torsion de Kozyrev, la concentration de cette force est différente que celle du facteur diffus de gravité G; elle est concentrée d'une manière que nous n'allons pas tarder à mettre en exergue.

La vitesse d'un écoulement est la racine cubique du vide inscrit
De l'onde aux particules acoustiques

Note: cela fait un long moment que nous pensons que P = c3  au lieu de E = Mc², pour P= puissance, E = énergie, M= la masse et c= vitesse de la lumière.

 

Note 2 : le temps utilisé pour installer le vide n'a pas encore été comptabilisé dans l'équation, mais nous verrons qu'il s'identifie aussi au vide.

 

Nous allons grâce à cela, en revenir à la dualité ondes-corpuscules, puisqu'il ya des vides entre ces dernières.

 

 

 

A suivre

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