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8 avril 2024 1 08 /04 /avril /2024 18:12
Mars et, paraît-il, ses vraies couleurs. Tout cela est à vérifier par nous-mêmes

Suite à l'article "De la sonotronique à l'invisibilité", nous allons voir comment il est possible et assez facile de lancer un engin vers Mars.

Mars possède une signature enregistrable en temps réel, une signature acoustique étrange et spécifique, comme pour toute planète.

Cette signature peut être envoyée dans le vaisseau par l'intermédiaire des 2 volutes latérales, augmentées d'un apport ultrasonique, pour se répercuter dans la zone de la mire.

Cet apport se recombine en une onde double et parallèlle, dont les ventres sont des "corps" sans intermédiaires; le mode ondulatoire devient "corpusculaire", même si l'on parle ici de corpuscules de la taille d'une planète.

Dès lors, Mars devient la mire elle-même; il faut veiller à ce que cette signature ne soit pas ancienne, sinon l'appareil se retrouvera dans le passé de Mars, et donc de la Terre.

Vue de notre monde, il s'agit d'une planète "ayant la forme d'un corps rond"; vue de l'autre côté (secteur de l'impédance sonique") il s'agit d'émanations plutôt stationnaires, de type ondulatoire: les ondes de torsion de Nikolaï Kozyrev. L'appareil se déplace dans l'invisible (pour nous ici), mais pour lui, c'est un monde de vagues immenses. Ces vagues peuvent devenir des bulles étranges, s'il existe un courant entre Mars et la Terre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Article en construction /  A suivre

Sur ce qui suit, on peut déjà remarquer une forte évolution dans la mesure où les sons font "corps" avec l'outil utilisé. Les sons proviennent de la mire elle-même et la cible est ainsi "verrouillée" sur elle-même.

Outil stratégique à impaction dirigée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous travaillons en ce moment sur l'équation du processus de la résonance acoustique en puissance intermécanique.. 

Le modèle recherché est celui d'une résonance dans les puissances acoustiques (uniquement, au départ), parce que l'éther, les sons et le Temps ne sont qu'une seule et même entité.

Et la résonance acoustique, déterminée comme nous l'avons vu par deux sources de sons qui par la suite fusionnent par réflexion, doit être retrouvée et justifiée dans une seule équation, qu'elle soit intermécanique ou pas.

La comparaison avec l'équation de Poiseuille

L'idée nous est venue de l'équation de Poiseuille sur les débits. (Rappel: nous nous rapprochons toujours plus du processus d'un débit d'eau sorti d'une pierre frappée (..soniquement) par Moïse à l'époque de l'Exode).

Regardons cela de plus près

De par la simplification des unités espace-temps, nous savons que le facteur r4 est un rayon en m4, que la viscosité êta est en m²/sec, que la longueur l est en mètre, et que la pression différentielle est en m²/sec².. et bien entendu, le débit qv est en m3/sec..

Donc, regardez la transcription mathématique de la fraction, en oubliant pi et 8, qui ne sont que des nombres sans association avec l'espace-temps (ici).

 

Tout de suite, ci-dessous, une image de cette transcription..

Resonance des débits quand on analyse Poiseuille

.. où nous voyons que ce brillant physicien est passé par le carré d'un débit, en m6 / sec2 pour revenir à un débit simple comme résultat, ce qui est très étrange en soi, mais pas interdit.

Trou noir acoust. à esp/temps recourbé sur lui-même

Nous devons pour l'instant reparler de Poiseuille parce que nous avons oublié le "point de fuite" inhérent à son explication dans les débits ordinaires.. avec ses calculs, une pression est un différentiel (p2-p1), comme nous l'avons déjà précisé. Autrement dit, même si 2 manomètres calculent une pression identique à 2 endroits d'une canalisation, le point de fuite est "l'évacuation" de la pression, dans un sens plutôt que dans l'autre, grâce au débit.

Comme un débit (m3/sec) est une conductance (en m.sec)  multipliée par une pression (en m²/sec²), alors (débit1 -débit2) = (m1/sec1). (p1) - (m2/sec2).(p2) = débit final

Dans quel sens vont ces débits 1 et 2 ? L'un est très clairement la résistance de l'autre.. : et nous en revenons à l'impédance acoustique, qui est en fait une conductance qui "remonte" le courant à l'intérieur de l'autre, une conductance de signe "moins". Il existe donc quand même une résonance entre ces 2 débits.

La parfaite résonance des puissances acoustiques de même fréquence

 

Comment traiter de cela avec les puissances, en m5 / sec3 ?.. C'est très facile et très tentant, comme tout ce qui se fait en simplification des unités E/T.

Donc nous devons multiplier les puissances des 2 signatures acoustiques par elles-mêmes (voir le dessin ci-dessus: "en route vers la planète rouge") pour obtenir un carré de puissance en..

                                          P =   (m5 / sec3) . (m5 / sec3)    =   m10 / sec6 

Ce commencement de programme est bien joli; mais l'objectif est de revenir d'une part à un effet de puissance, matérialisé dans le modèle du vaisseau vers Mars par une vélocité (qui transcende l'espace-temps) dépendant clairement d'un futur préalablement imposé.

Ce qui est préprogrammé, c'est le résultat bien sûr.

Le carré des puissances est une résonance parfaitement synchronisée. Une puissance intermécanique entretient une résonance en boucle dans les 2 sens de son action..

Une puissance en m5/sec3 se communique en 4 dimensions (en une forme) si elle est intermécanique. Elle se transfère par réciprocité, en laissant tout le système autour dans l'équilibre initial, tout en imposant donc une intention qui se matérialise dans l'univers et sur le terrain: une "forme". cfr : le stéréoscope de Brewster

Cette forme est une "nouvelle venue", apparaissant n'importe où à l'intérieur de ce système. Son énergie bouclée par la synchronisation lui confère même une "vie".

Pour en revenir à la dernière équation de puissance P², il faut à un moment donné la rediviser par un élément modérateur P1, pour arriver à un résultat P2 .

Rapport Cometa: appareil exotique pris à partir d'un sous-marin
Relation entre la vitesse d'un véhicule.. (exotique) et le vide

Il est tentant de fabriquer un engin de type exotique, avec des miroirs de Kozyrev comme réflecteurs internes de puissance sonore. Mais, même si nous possédons les "propulseurs" acoustiques, il est nécessaire de savoir dans quoi nous nous engageons avec une telle technologie.

Comme nous adorons nous débarasser en priorité des idées reçues de la physique, parlons alors de quelque chose enseigné partout: la constance du débit (aire x vitesse) dans une canalisation, quelle que soit le changement de section (aire).

Resserrement millénaire de l'Escaut, et débit apparent "normal". Photo RTBF

Autrefois, le fleuve Escaut traversait une petite ville de part en part.. et à un endroit donné, sa section rétrécissait. Comme les bateaux remontaient le courant vers la source, ils devaient affronter une plus grande vitesse de l'eau, avec bien plus d'énergie. Selon la version officielle, le débit confronté était égal à lui-même, dans cette petite section, comme dans une autre section plus large.

                                              débit =  (airesection x vitesse) = (a1v1) = (a2v2)

Mais, comme nous l'avons dit plus haut, il n'en était rien. S'il fallait plus d'énergie au bateau pour compenser la vitesse de l'eau, de où venait justement l'énergie supplémentaire de l'eau ?

Les physiciens disent que l'impulsion et l'énergie n'ont aucun rapport avec le débit, qui est une autre sorte de considération. Pourtant, même l'équation du débit (ci-dessus) est vraie sur le long terme, mais pas à court terme. Le temps et le vide y sont pour quelque chose.

           Si un fleuve rétrécit de section grâce à des ventaux latéraux, par exemple, la brusque interception latérale du débit pousse le fleuce à augmenter sa hauteur dans un premier temps.

La pression monte à l'endroit du resserrement. Rapidement, le vitesse s'accroit en aval et donc la pression et la hauteur de l'eau redescendent. Mais il se passe un phénomène nouveau: la hauteur d'eau s'effondre plus bas encore qu'avant, ainsi que la pression. Cela se remarque beaucoup mieux sur les torrents (fleuves en pente plus dure).

La différence de hauteur, dans ce court intervalle de temps entre la haute pression et son bas niveau obtenu ensuite, crée un diffférentiel qui correspond à la mesure d'un vide, en permanence. Ou plus exactement, qui correspond à l'appel du vide, qui se traduit sans cesse par une plus grande vitesse en aval.

Le vide est inscrit dans la vitesse / Et il a fallu du temps pour l'installer

Préambule: Selon l'intelligence artificielle (IA Bing), ( "par analogie avec la théorie du corps noir") les unités dimensionnelles d'un vide acoustique sont des watts/mètres2, même si, selon IA, un vide acoustique ne peut être un vide complet de matière. Or des W/m2 sont des m3/sec3.

Pour l'équation, il faut savoir qu'une augmentation de pression locale delta P correspond à une réaugmentation de la section delta S: or  Dp / Ds  = (m²/sec²)  / m²  = 1 / sec²

                                       Equation du vide =  débit Q(v) x Dp/Ds

 

Cette équation donne donc des m3/sec3

Voir la video du "vortex physics in action"

La puissance de la dépression du vide est celle du vide acoustique.

   L'équation du vide dans un écoulement est donc situé en plein dans l'acoustique, et correspond au cube de la vitesse de l'écoulement.

Revenons à la partie Dp/Ds décrite plus haut dans l'encadré (rouge). Pour la petite histoire, souvenons-nous que la constante de gravité universelle G se situe exactement dans le facteur d'accélération que l'on nomme justement "fréquence carrée" en 1/sec². Oui, la constante G dans l'interaction gravitationnelle, comme la constante k de Coulomb en interaction EM, est située dans cette gamme de vibrations accélérées (fréquence carrée).

Pour notre voyage vers Mars, c'est intéressant.

Parce que nous savons à présent qu'à toute accélération dans l'Univers correspond au même endroit une opposition équivalente de "densité de pression", venant de l'Univers lui-même, qui cherche toujours à rétablir l'ordre selon lequel toute particule est, et doit rester, au centre de l'Univers, qui est partout et nulle part, depuis le Big Bang.

                     Valeur absolue de (- Dp/Ds)  = valeur abs. de + G (accélération)

Etant donné le signe + de G accélération attractive, (-Dp/Ds) est un facteur de densité de pression répulsive.

Il est dit plus haut que cette densité de pression vient de l'Univers lui-même; oui, mais à la surface de la Terre, la "force" répulsive est beaucoup plus grande que dans l'espace. De plus,

1.. en tirant la leçon de la théorie des ondes de torsion (Ot) de Kozyrev, la concentration de cette sorte de force dans le secteur du vide -c3 est supérieure à celle, plus diffuse, de son opposé, le facteur  de gravité G dans +c3

2.. sa capacité de réponse, son opposition est donc bien plus grande qu'il n'y paraît car elle est reliée à la densité de pression de l'univers lui-même.

             valeur absolue de + G (accélération) <  Valeur relative de Ot  (- Dp/Ds) dans le vide

Quelle est la valeur relative d'une puissance de Ot  ?

La réponse est très simple et.. très compliquée.

Pour rappel, la puissance P en watts possède en réalité 5 dimensions d'espace (donc en m5/sec3) et 3 dimensions de temps.

En ayant inscrit précédemment que P = - c3, nous avons oublié (volontairement) 2 dim d'espace, car - c3 se calcule en m3/sec3 et n'est donc pas encore P. Mais où sont cachées ces 2 dim d'espace, ce front, cette "surface" qui manque à c3 ?

Précisément, ce n'est un front que s'il résiste à la puissance de l'Univers: s'il ne lui résiste pas, une surface d'entrée de l'onde devient une section de conductivité où l'énergie de la substance universelle s'aventure au maximum de la capacité désirée, en fonction de la grandeur de la section.

valeur de la substance universelle
Rien ne résiste à la pression d'une Ot soutenue par l'Univers lui-même

 

Il faut nous concentrer sur le réflecteur du vaisseau vers Mars; en effet, on a besoin de montrer que ce point précis est relié d'une part à l'Univers lui-même, et d'autre part sa logique est celle qui est montrée dans la video du "vortex physics in action": du moment que le vaisseau peut amortir les ondes de torsion, il lui reste la force montante EN RETOUR DES SONS pour s'élever en direction de Mars (voir le modèle C du vaisseau propulsé vers Mars).

Mais quel est ce point précis ..

 

 

 

Intensité sonique en m^3 / sec^3 x la surf du disque = puissance du vaisseau

 

                            La vitesse d'un écoulement est la racine cubique du vide inscrit: reparlons à présent de la théorie double: corpusculaire et ondulatoire..

 

De l'onde aux particules acoustiques

Note: cela fait un long moment que nous pensons que P = c3  au lieu de E = Mc², pour P= puissance, E = énergie, M= la masse et c= vitesse de la lumière.

 

Note 2 : le temps utilisé pour installer le vide n'a pas encore été comptabilisé dans l'équation, mais nous verrons qu'il s'identifie aussi au vide.

 

Nous allons grâce à cela, en revenir à la dualité ondes-corpuscules, puisqu'il ya des vides entre ces dernières.

 

 

Sur les modèles précédents A et B des vaisseaux vers Mars, nous n'avons pas pu identifier de quoi sont constitués les axes centraux grâce auxquels la force de remontée peut s'exprimer..

 

Le parfait navigateur pour se rendre sur Mars

 

Le pont de Soliris

Le pont de Soliris, c'est l'annulation de tout retard dans la traversée de l'espace/temps; c'est cela, la super-transitivité. Et pour acquérir un signal de l'endroit où se trouve actuellement une étoile (beaucoup plus loin que Mars), il est nécessaire d'obtenir un détecteur de Kozyrev.

Nikolai A. Kozyrev a-t-il construit une machine à remonter le temps ?

Le scientifique soviétique qui a compris la nature du temps..

 

A suivre

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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 14:31

L'artefact suivant illustre une théorie pour remonter le temps ou l'annuler, afin de permetttre un déplacement instantané.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces boucles se referment normalement sur elle-même. C'est ce qui se passe "à l'intérieur" de la Terre, chaque sortie de cet entonnoir planétaire correspondant aux pôles nord et au sud. 

L'équation acoustique de puissance W = pression² . conductance dépend, pour être mise à execution, d'un modèle d'exploitation sur lequel nous travaillons encore. Nous sommes en effet persuadés que la résonance des pressions est la clé du système Univers et de son déplacement à l'intérieur, parallèllement.

Certains appareils vont plutôt jouer par ailleurs sur le parcours de la conductance.

L'Univers est constitué uniquement de matériel sonore: la substance universelle; même sa structure est sonore, ses passages, ses vides, ses conduits, absolument tout; donc si nous trouvons le négatif d'une structure, nous la connaissons en entier.

Bienvenue à Asgard: pour y accéder, il faut "cesser de résister"

 Les boucles sonores se situent à gauche et à droite de ce pilier central, dans Asgard ou Agartha, comme la première image de cet article le montre. Il existe une sortie de ce monde dans les régions les plus froides de l'Himalaya, sortie connue (et redoutée) des Sherpas.

 

 

 

 

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15 mars 2024 5 15 /03 /mars /2024 16:09

Bonjour,

Certains, dont Hoagland, ont affirmé que les planètes du système sont un monde.. en résonance sonore.

C'est ce qui semble se déduire de plus en plus; elles suivent un tracé directionnel dans le même sens, en se positionnant pour rester des "corps" à nos yeux, pendant que, sur un autre plan de la Perception, entre elles se répandent des ondes en émanations, reliées entre elles.

Le Soleil dans l'ombre, Mercure, Venus, la Terre puis Mars en périphérie..

Entre chaque planète sur son orbite, une passerelle d'énergie inverse existe comme passerelle (gateway).

Nous allons nous étendre sur les modes et les moyens de propulsion en s'aventurant dans l'espace-temps..

 

Rappel: voici la théorie déjà ancienne de Richard C. Hoagland..

Système solaire hyperdimensionnel en résonance, de Richard C Hoagland

 

Ci-contre: système solaire Hyperdimensionnel en résonance, de Hoagland 

Je vous présente rapidement la théorie suivante. 

Dans le modèle physique hyperdimensionnel que suggère Hoagland, c'est la propre rotation d'une masse dans l'espace 3D (ou la révolution gravitationnnelle sur une orbite d'une masse autour d'une autre) qui ouvre littéralement une «fissure» ou une «porte», entre les dimensions. L'énergie HD [hyperdimensionnelle] souffle à travers cette porte, modifiant l'Ether sans masse dans cette dimension, créant un variété d'effets physiques observables et mesurables, incluant l'apparition cyclique de matière et d'énergie dans notre dimension. 
La quantité totale d'énergie "portalisée" dans cette dimension est directement proportionnelle à «le somme totale du moment angulaire» dans le système en rotation ou en gravitation concerné.
 


Pour comprendre ce qui est dit précédemment, imaginons que nous sommes à plusieurs compagnons en train de tourner autour d'un axe commun, à des distances différentes; à certains moments, et à certains endroits, nous aurons l'impression (et pas seulement l'impression), de nous trouver en face de l'axe et en face d'un autre compagnon. 

 

Description d'une vitesse angulaire



Pourquoi ? Parce que la fréquence orbitale devient la même, cad que la vitesse angulaire est identique ! Nous voyons sur l'image précédente que si nous trouvons tous en A, B ou C sur le rayon, nous nous retrouverons aussi les uns en face des autres en A1, B1 et C1; même si notre vitesse ordinaire a été différente sur chaque arc de cercle, la vitesse angulaire est restée identique. Or elle se calcule par un nombre ordinaire n / mètre, ce qui correspond à une fréquence. 

Hoagland parle d'une "énergie portalisée" et considère que c'est à ce moment-là que des "résonances" sont possibles. Il considère que des échanges énergétiques entre niveaux de rotation, et donc entre planètes (ici, en l'occurrence) ou corps sont faisables au moment où les corps sont "rapprochés", se caractérisant même par l'apparition de matière et d'énergie dans notre dimension (téléportation). 

 Fin de l'article sur Hoagland / Fin de citation

Nouvelle donne du Rêveur: "La masse n'est pas la même" (NDLR: .. de l'autre côté). Nouvelle donne du Veilleur: "Qui divise le vent récolte la matière". (NDLR:.. Moïse, qu'étais-tu en train de regarder ?).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A suivre article en construction

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2 mars 2024 6 02 /03 /mars /2024 13:34

Jusqu'ici nous avons accompli un sacré travail d'observation de toute la physique, grâce à l'analyse dimensionnelle.

Et nous avons vu que, dans bien des cas, les physiciens ne se trompent pas.

Ensuite, nous avons développé une première structure théorique, grâce à l'utilisation de segments comparatifs de la table des puissances, sur ce modèle-ci: la puissance due à la résonance des pressions dans les liquides peut se transférer en puissance d'impulsions accélérées pour celui qui "actionne les pressions".

 

                Puissance:  pression² x conductance = Impulsion x accélér.

Ce second travail est primordial: les structures à 2 segments montrent des possibilités incroyables, dans la mesure où la puissance (en watts) est une notion qui chapeaute toutes les autres: énergie, force, impulsion, accélération, débit, pression, action de Planck, moment(s), etc.

Mais il est un troisième travail qui se présente à nous: c'est l'utilisation optimale de la table des puissances pour obtenir une résonance espace-temps qui permette d'envisager d'autres possibilités humaines.. Car toute variation de l'espace-temps d'un objet ou d'un être vivant le fait disparaître à son entourage "traditionnel".

Pour cela, il faut encore et encore créer de la résonance, mais cette fois, c'est l'organisation elle-même du véhicule qui compte autant que l'équation elle-même.

avec c pour "célérité" et "vit.vib" pour mvt vibratoire non transféré

Evidemment, la clef réside dans le transfert et le pureté des vibrations (par exemple ultrasoniques).

 

L'Arche d'Alliance est là, mais nous ne pouvons pas encore l'ouvrir.

 

Vers une question posée à nos amis lecteurs: 

    Nous savons que la résistance du milieu dans lequel coule un fluide est l'inverse de la conductance du fluide lui-même.

     La question posée est: si la résistance d'un milieu sonore est le propre du conducteur (l'air ambiant, par ex), quelle est la nature du fluide sonique qui "transporte" le signal sonore et joue le rôle de conductance ? 🙄

En attendant, trouvons l'équation de puissance qui serve à l'aspect technique de l'invisibilité.

                            Puissance sonore = pression² x conductance

Comme prévu plus haut dans cet article , il nous fallait la base d'une équation plus détaillée sur les puissances et les pressions sonores; elle nous est fournie par le lycée Diderot de Marseille..

 

Mais il nous faut la détailler un peu plus; l'auteur de ce cours formidable nous dit que la puissance acoustique P est égale au produit de la pression acoustique par le flux de la vitesse (qui est un débit acoustique en m3/sec (!) ) et nous reviendrons sur cet étrange donnée.

Mais ce qui nous intéresse , c'est que la puissance sonore découle d'une pression carrée (p²) sur la formule en bas de page. Or la pression elle-même est égale à la célérité x(rho) x la vitesse vibratoire.

Ce qui nous amène à cette formule, comme décrite dans le schéma:

                       Puissance sonore =  célérité²  x  vit². vibrat.  x conductance

Nous avons oublié volontairement "rho²", qui n'offre pas d'intérêt pour l'instant.

Etrange formule... Pour l'instant, personne pour dire à quoi correspond la "vitesse vibratoire" d'une onde, indépendamment de la célérité.

Le point rouge avance à la vitesse de phase, et les points verts à la vitesse de groupe

Comme nous connaissons la vitesse de phase et la vitesse de groupe d'une onde acoustique, l'IA de Bing prétend que la vitesse de phase correspond à la célérité, c'est-à-dire la vitesse de propagation de l'onde acoustique dans le décor, puisque c'est elle qui transmettrait la pression de l'onde.

Le fichier Gif ci-dessus montre une translation de l'onde dans son propre espace et dans l'espace qui nous est propre.

 

L'IA affirme qu'une onde est en réalité une pulsation, c'est-à-dire une oscillation de "quelque chose" qui tourne autour d'un ventre de pression (voir ci-dessus la différence entre un ventre et un noeud de pression (comme si l'un des points noirs de l'avant-dernière image ci-dessus tournait autour des espaces ventraux).

Pour se représenter cette assertion, oublions la propagation de l'onde dans l'espace, car c'est plutôt l'usage que cette onde fait du temps qui nous intéresse.

Si quelque chose tourne autour d'un ventre de pression, voici plus ou moins à quoi ressemble le mouvement du point de rouge qui avance à la vitesse de phase (voir 2 images plus haut) sur le type d'onde qui présente des phases et des groupes. Evidemment ici, on ne tient pas compte de la translation de la vibration que l'on appelle "onde parcourant l'espace".

Il faut se représenter le point rouge partant du centre vers l'extérieur, sur la spirale, puis disparaissant à l'extérieur et réapparaissant le plus près possible du centre, pour recommencer son mvt d'expansion.

Nous voyons sur cette image que le centre n'est pas "centré" (!) et qu'il exerce un mouvement pendulaire circulaire, et donc une oscillation.

Mais alors, de où provient le temps qui lui est propre ? Un son est une irruption du temps (sous forme d'un fluide sous pression) dans notre dimension perceptive. Et s'il est mathématiquement clair qu'il diminue localement la pression c² de notre univers sous forme implosive (corpusculaire), il doit forcément retourner de où il vient, sous forme explosive (ondulatoire).

Les ondulations s'étendent toujours en partant d'une source, les corps se rapprochent toujours en retournant vers la source. Les sons constituent une boucle, un peu comme les protubérances solaires

 Donc, pour spécialiser l'équation de puissance des ondes sonores, nous distinguons (comme par hasard) les pressions de propagation (explosions) et les dépressions de traction (implosions) plus proches de c²

                                           P = (- pressimplo)  x  (+ pressexplo)  x conductance

                                   donc   P =  ( - press2 )  x conductance

Normalement, il aurait fallu parler de "c² - pressimplo"  et "c² + pressexplo", mais obtenir c4 - press² dans la formule finale n'est pas souhaitable pour l'instant.

Cependant, cette équation laisse planer la curiosité sur la conductance en boucle..

Rappellons-nous une chose: nous venons de voir que les protubérances sonores sont plus rapprochées de c² à leur niveau de retour.. et leur niveau de résonance entre elles dans ce secteur de la perception est plus puissant que partout ailleurs.

La résonance entre sections d'ouverture et de fermeture des boucles sonores est à la base du transfert de masse en physique quantique.

Retournons à la première image de cet article: cette structure intermécanique montre bien que ce sont les rames par conductance qui transfèrent la pression sous forme d'ondes et ce sont ces mêmes rames qui transfèrent les accélérations d'impulsions de la barque et de son occupant, toujours par conductance, qui, je le rappelle, possède des unités dimensionnelles en m . sec

Note: la conductance = inertie en physique classique

Rappelons-nous ceci : 

                  "Tout comme il est impossible de dire si une ampoule à filament incandescent doit être appelée "résistance ou conductance", parce qu'à la fois elle résiste au passage de l'électricité tout en conduisant celle-ci, il est difficile de dire si l'inertie est une conductance en m x sec ou une résistance en son inverse en 1/ (m x sec).

Parce que l'inertie est aussi bien le temps et l'espace nécessaire (m x sec) à une accélération pour atteindre 1 vitesse constante (quand l'accélération devient nulle) d'un objet, par exemple, l'inertie est aussi le ralenti lui-même, le freinage qui joue sur cette accélération (en 1/ m x sec).

Il y a fort à parier (nous allons développer ce point de vue) que l'espace (en mètres) est le gros responsable des phénomènes de résistance, bien que le Temps s'y adapte à sa manière..

La dyssimétrie ondulatoire dans la puissance de l'espace-temps

Cependant, nous savons que la conductance est en m x sec.

L'eau garde le feu.. en elle-même

Dans le monde alchimique, les professeurs disent ceci: bien que l'eau soit constituée d'hydrogène et d'oxygène, si vous mélangez les deux, il ne se passera rien. Pour qu'ils forment de l'eau, il vous faudra un catalyseur: le feu, l'étincelle..

Dans notre monde, il existe des ondes en rotation, parce que la nature éthérée de ces ondes les pousse à devoir ralentir; et donc elles se mettent à tourner en spirale, presque pour faire du "sur-place".

Les ondes ne sont pas des ondes.. ce sont des boucles de conductance

 

 

 

 

 

 

Les instruments scientifiques actuels ne peuvent mesurer la rupture de la sinusoïde dès que la boucle de conductance pénètre dans le temps rétrograde. Un son a cependant une continuité et une fin: c'est pour cela que l'on parle de boucle.

Il faut savoir que si les arceaux possèdent mathématiquement la même puissance sonore, beaucoup de choses font que les sons dans ce milieu sont extrêmement différents de ceux de notre monde.. notamment par l'équation: P = (- pressimplo)  x  (+ pressexplo)  x conductance, qui est en réalité

                         P = (-) tensimplo  x  (+) pressexplo  x  conductance

.. Les signes (+) et (-)  interprétant le mouvement du temps dans chacun des domaines d'expression sonore, domaines reliés par la conductance.

 

les arceaux "soufflent" les bulles sonores en inspirant..

 

Nous allons montrer comment nous allons partir du système des boucles invisibles à ce système solaire,  dit de Hoagland, boucles qui deviennent des "corps constitués", des bulles, en quelque sorte..

au centre se situe normalement le Soleil..

Revenons à nos indices.. Parce qu'il faut se coller aux indices (disait un enquêteur).

Saturne est une onde et un corps, en 2 lignes d'éther (Temps) de sens contraires

 

Sur l'image ci-dessus, nous voyons que les arceaux font du sur-place, ce qui est rendu possible par le temps rétrograde à l'intérieur de la Terre ou, ici, de Saturne. Entre les planètes, les ondes se répercutent et s'associent (résonent) sous formes de chevrons qui peuvent entraîner tout appareil (pour l'instant exotique) en sens contraire de la rotation orbitale des sphères.

Ces sens contraires sont une aubaine, une possibilité d'entraînement prodigieuse pour ces appareils.

De plus, n'oublions pas qu'une conductance gigantesque existe entre chaque planète, et que chacune d'elle exerce une tension et une pression sur l'autre d'un bout à l'autre du système, selon l'équation de puissance citée ci-dessus.

Etant donné que les ondes filent d'un côté de l'espace-temps, et les boucles de l'autre, l'ensemble est un Statique qui respecte le non-dérangement de l'Univers lui-même, quelle que soit l'arrivée d'une nouvelle planète dans le système solaire.

La conductance acoustique, nommée G, est l'inverse de l'impédance acoustique (impédance = forme de résistance). Sa composition espace-temps est surprenante, en sec / mètre.

Prioritairement donc, elle est composée de temps en liberté.

La porte du Valhalla

Mes amis, il semble que nous soyons dans la dernière ligne droite vers ce qui semble être la Porte du Valhalla; Richard C. Hoagland parle de portes dimensionnelles ouvertes entre les planètes du système solaire.

Il semble en effet que c'est bien sur la résonance (des pressions) dans l'équation de puissance qu'il faut s'appuyer pour sortir de l'ornière technologique dans laquelle nous nous trouvons depuis des millénaires.

Le mur de Joukovski

La conductance entre les pressions semble être le lien décisif, mais nous allons la modifier, grâce aux enseignements tirés de l'existence du "mur de Joukovski".

Le monde où nous vivons, ce monde de résistance, nous empêche d'accéder à la Porte, parce que nous nous heurtons au mur de Joukovski, le mur tournant de la Perception. (Pour changer cela, nous verrons après ce que cela implique comme correction au niveau du matériel sonotronique).

D'après un rêve récurrent que je fais en ce moment, les 2 mires (du passé et du futur) qui sont visibles dans l'équation de puissance en m4 (carré de surfaces en m²) doivent se confondre en une seule, pour obtenir un effet direct et instantané en fonction des intentions de l'observateur.

Or, l'une des 2 mires tourne sans arrêt en face de l'autre, et en face de nous. Donc le courant de conductance passe très difficilement entre les 2.

Théorie alternative, abandonnée

Nouvelle donne du Rêveur: "La masse n'est pas la même" (de l'autre côté). Nouvelle donne du Veilleur: "Qui divise le vent récolte la matière". (Moïse, qu'étais-tu en train de regarder ?).

 

Le fond de la cuvette est comme celui de la bulle d'observation, image préc.

Petit à petit, à travers les articles de ce blog, et particulièrement celui-ci, nous nous avançons dans le domaine de la projection éthérique, qui va du simple voyage dans ce monde et dans d'autres, vers la création pure et simple de tout ce dont nous avons besoin (dans le respect de l'éthique).

Concernant l'image précédente, nous voyons que c'est l'impédance acoustique qui pousse et remplit la mire.

 

 

Le type d'engin décrit sommairement ci-dessus (plan en constante amélioration) a déjà fait parler de lui en tant qu'appareil "exotique"; en effet, le commandant communiste cubain Andrès Alfaya décrit en 1981 des rencontres de bateaux terrestres avec (les lignes d'impédance utilisées par) des ovnis depuis le fond aquatique du Golfe du Mexique jusqu'à l'espace. A l'époque, dans les années 1960 et 1970, des tankers (comme le Marine Sulphur Queen) et beaucoup d'avions se sont heurtés à des "murailles" et ont littéralement explosés sous l'incroyable violence du choc entre les trajectoires ordinaires et exotiques.

Même les sous-marins américains, israéliens et français en ont fait les frais (pensons notamment au Tresher), et ont disparu, ou ont été coupés en deux ou projetés à des milliers de kms. Il faut dire qu'à l'époque, l'hostilité des Terriens à l'égard de nos frères libres du Cosmos était à son comble. 

 

Nouvelle donne du Veilleur: "Le mystère de la personne disparue" (Où se trouve l'observateur ?)

Le rôle de l'obervateur et sa présence dans l'équation de puissance

Cette image est un commencement de processus; nous sommes allés bien plus loin

Le problème des jumeaux de Langevin n'a pas été résolu parce que la situation de chaque jumeau n'est pas décrite comme en relation avec l'espace-temps de l'observateur. L'idée soulevée par Einstein que l'on ne peut faire la différence entre un ascenseur qui monte à 10 m²/sec dans l'espace et l'attraction subie par un homme debout au sol, est curieusement stupide: tout cela dépend de la sensibilité de l'observateur, et donc de ce sur quoi il porte son attention.

La représentation des Bouddhistes et Hindous

Car l'homme fait advenir l'objet de ses pensées..

Nous voyons ci-dessus que l'homme "divise le vent", c'est-à-dire qu'il sépare en deux parties le flux du temps perpétuellement en train de souffler dans sa direction (l'observateur est un Statique, il renvoie sans cesse le flux dans toutes sortes de directions pour évoluer dans son monde; et de fait, il attire le flux éthérique plus ou moins fort, au départ, vers lui).

Mais techniquement, si nous voulons construire une machine capable de réaliser une prouesse identique, nous devons connaître exactement le processus de sa créativité; en fait il utilise ses yeux pour émettre une intention imposée par le.. troisième oeil. (Nous verrons juste après ce que cela implique comme équation en puissance transmécanique).

Les Bouddhistes et les Hindous sont conscients du pouvoir (eh oui, en watts !) de cet organe qu'ils nomment comme cela. Dans un mécanisme, qui se laisse découvrir de mieux en mieux, voici le premier dessin: le 3 ième oeil se saisit d'une image et la garde dans l'ovale central; ensuite il se sert de ses yeux (les 2 plus petits ovales) pour "abaisser" dans notre réalité l'image de départ, grâce à ce qu'on appelle "l'accommodation".

C'est le Pouvoir des modulateurs de la Perception, le Pouvoir des "sorciers".

 

 

 

 

 

Rappelons-nous un des dessins antérieurs à ceux-ci, ci-contre, où nous voyons que le mécanisme utilisé par les engins exotiques pour "ajuster la mire" et la faire advenir est très ressemblant à cela (ci-contre, un engin tenterait d'aller sur Mars).

Avant de continuer, le lecteur doit se souvenir que nous avons souvent montré des dessins ou images de ce type, comme par exemple cet engin filmé dans l'espace.

Engin filmé dans le ciel de Greensboro

En voici un autre: 

ou encore celui-ci..

A présent revenons au mécanisme des flux dirigés éthériques, cad les 2 yeux "ordinaires".. et le 3 ième oeil.

 

Tout l'art technologique va consister à présent à reproduire en premier lieu cette boucle spéciale, qui n'est pas difficile à comprendre quant à son propre réseau.

Des phénomènes magnétiques, grâce à l'électricité parcourant la topologie de ce câble, peuvent être imaginés s'inversant d'un module (ovale) à l'autre.

Mais nous savons que notre liberté dépend de l'acoustique, et rien d'autre.. dans ce cas, les mouvements internes créent-ils la boucle toute entière ou bien est-ce le contraire ?

Connaissant maintenant les mouvements de l'éther à l'intérieur de la forme d'un appareil, il ne nous reste plus qu'à fabriquer un réflecteur, grâce au miroir de Kozyrev. 

Or nous en en avons retrouvé le montage.. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il s'agit d'aluminium poli. En voici un exemple d'origine (voir ci-dessous).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Kozyrev lui-même.. semble avoir peint son miroir

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces feuilles d'aluminium sont incurvées: réflecteur !!

Fin momentanée de l'article.

AJOUTS PARTIELS

Pour arriver à un résultat, il faut partir du résultat à obtenir pour arriver au résultat obtenu.

 

Une équation intermécanique de puissance va de nouveau être privilégiée à ce stade de la réflexion, pour illustrer ce qui se passe dans le vaisseau ci-contre.

De préférence parce que, si au départ on a P = (mire x impédance) / (conduct 1 x conduct 2) dans le temps ordinaire des mouvements ondulatoires, on a, en provenance du futur, une puissance P = l'image en 4D x l'accélération en m3/sec dans les mouvements corpusculaires.

N'oublions pas que ces vaisseaux exotiques ont toujours une longueur d'avance sur les nôtres: leur mire (objectif) est antérieure et déjà là (à obtenir) avant qu'elle ne soit obtenue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=a7Dh5QoXv2c

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24 février 2024 6 24 /02 /février /2024 14:12

Dans la vision naturaliste des événements à décrire, les fonctionnements, les structures et les déterminismes valent autant que les équations.

Nous insisterons donc ici autant sur les uns et sur les autres.

Avant toute chose, il faut savoir que les différentes théories issues du hasard n'ont pas d'échos dans cette étude: les éclairs sont un objectif réalisable.. comment, c'est ce qui reste à évaluer.

Pour qu'ils aient lieu déjà en milieu naturel, il faut qu'ils fassent partie d'un système qui anime aussi bien les nuages que le sol, et aussi la distance qui les sépare.

Le système taoïste, assez bien illustré ci-dessus, tout autant que par l'équation de puissance que nous allons émettre, fait dire aux éclairs qu'ils sont à la fois le produit d'une répulsion, d'une résonance entre 2 secteurs (voir les deux points ronds ci-dessus), mais aussi que ces 2 secteurs sont unis par une force bien plus grande que celle qui les sépare (voir sur cette image: le grand cercle du tao)

L'équation de puissance est la suivante:

La conductance électrique inertielle des électrons en mouvement s'exprime en mètres . secondes... Il s'agit tout simplement du couloir espace-temps nécessaire à un fluide pour exister dans un écoulement.

Selon la simplification des unités espace-temps, toute pression ou toute tensxion s'exprime en m²/sec². Nous voyons ici qu'avec les m4/sec4, nous avons affaire à une résonance (multiplication) de 2 tensions.

Selon les modèles que l'on trouve sur internet, la physique qui décrit les éclairs parle d'une tension de décharge qui existe entre une charge poisitive située dans les nuages, et une charge négative, située en bas. Ou l'inverse (positive en bas, négative dans les nuages). A peine la référence se fait-elle avec les condensateurs qui se "vident" d'un seul coup par un trait d'union (décharge lumineuse dans une conductance) entre le haut et le bas.

Décharges entre 2 surfaces d'un super-condensateur

L'intelligence artificielle voit peu de ressemblance entre les condensateurs et les charges "bliksem" électrostatiques du sol et des nuages.. parce que les éclairs sont déroutants: ils ont cours en quelques millisecondes et valent des milliers de milliards de watts, tandis que le temps de décharge des appareils humains est beaucoup plus long et des millions de fois inférieurs en puissance..

L'intelligence artificielle n'a pas tout-à-fait tort: les éclairs utilisent une résonance de tensions inconnue sur Terre, certes entre 2 surfaces qui se regardent (m² x m² = m4) mais aussi entre une deux fréquences fluctuantes (chacune en 1/sec²) qui se regardent (sec² x sec² = sec4).

L'ensemble forme bien une résonance de tensions en m4/sec4 et s'identifie spatialement comme une activité entre le haut et le bas.

Note: une fréquence fluctuante est une donnée temporelle (en hertz) qui fluctue à travers le temps (donc en hertz.. x hertz = hertz², mathématiquement en 1/sec²).

Mais il faut en revenir au "cliché" qui fabrique un éclair; nous avons parlé du "grand cercle du tao", mais en fait, ce grand cercle est à l'extrémité d'une source de polarité, comme on peut le voir sur cette image. La photo montre une spirale créée à distance par un curieux procédé (😁), le 09 décembre 2009 au-dessus de Tromsö, en Norvège.

Examinez bien cette photo, vous y trouverez la polarité dont il s'agit ici avec les éclairs..

 

 

 

A suivre

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6 février 2024 2 06 /02 /février /2024 15:35

                      En mécanique, comme par ailleurs dans les fluides électriques, la conductance des fluides est l'inverse de la résistance des structures

                          

A cette table, nous pouvons déjà ajouter P= le couple x vit. de rotation, en e5/ t2 x 1 / t..  Les équations ci-dessus ont toutes un résultat en watt.. Elles sont égales les unes aux autres, mais comportent bien des aspects utilisables différemment et parfaitement inattendus. Par exemple, le "Tesseract x l'à-coup" est de plus en plus indiqué pour expliquer ce qui se passe au niveau de la sono-luminescence et le phénomène de cavitation dans une implosion.

Un tesseract exprime aussi le carré des surfaces (S²) en brusque contact lors du déplacement d'une balle de fusil dans un pain de gélatine, ou lors du passage du Queen Mary dans un chenal à trop faible tirant d'eau..

 

 

L'effondrement du pain de gélatine sur lui-même n'a pas une accélération ordinaire en m/sec² mais plutôt un "à-coup" en m/sec3, comme dans toutes les implosions, d'ailleurs.

La table des puisssances trouve toute sa valeur déjà dans cet exemple-ci: la résonance en puissance inter-mécanique.

Rappel: la notion de masse, en analyse dimensionnelle de l'espace-temps (qui ne comporte que 2 données: l'espace et le temps) est un indice de concentration CL  de volume.

                                         M =  CL. V    ... en m3

Cet indice est purement un nombre. Nous reviendrons sur la notion de "concentration locale".

                             

Voir la machine de Wimshurst.

 

                          Devise du Nouvel-Âge: "Un seul être joue à être plusieurs".

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5 février 2024 1 05 /02 /février /2024 07:10

Bonjour,

Comme vous le savez, la puissance en watts peut être égale à beaucoup de choses. Par exemple en électricité on a la formule  P = V² / R ,  pour V = voltage (tension) et R = la résistance
En mécanique (des fluides et des solides), on peut s'amuser aussi.

En milieu liquide, on obtient facilement que le carré des pressions (leur résonance) soit inscrit dans la relation Puiss = press². Cond.    ..   (puissance = pression² . conductance).

La conductance du mouvement de l'eau est l'inverse de la résistance des rames à leur propre mouvement.


En milieu solide le bateau d'un rameur, par exemple, avance par courtes accélérations sur sa propre impulsion I.. : donc Puiss = accel.  x Impul.

 L'exemple du rameur et de ses avirons accrochés au bateau est très solide sur le plan des interpétations, et manifeste aussi par exemple le transfert entre le modèle ondulatoire (pression des rames sur l'eau) et le modèle corpusculaire impulsion sur le complexe (bateau + rameur + rames) avec accélérations. En puissance transférée donc, on obtient l'quation de puissance intra-mécanique ci-dessus.. 

Amusant, non ? 

Pour illustrer la table des puissances, et particulièrement cette association: P = (pressions² . conductance) versus (impulsions . accélérations), nous avons besoin de développer le vaisseau suivant, l'Enterprise, à la différence que le moteur (la pression des rames en résonance, dans l'autre modèle) se trouve non pas au-dessous, mais à l'intérieur du disque d'habitation.

N'oublions pas une chose: une pression n'est pas simplement une "poussée sur quelque chose". C'est aussi un différentiel de densité d'énergie qui va d'un point A à un point B. Tout comme une tension est une diffférence de potentiel d'un point A vers un point B. Donc au niveau du vaisseau interstellaire à construire, les ondulations partent du disque sous forme de pression vers le propulseur. Celui-ci est demandeur de cette pression pour accélérer la totalité de l'engin par "effet de corps" (impulsion . accélérations).

                                             Puiss = press². Cond = accel.  x Impul.

C'est de cela dont il faut tenir compte, si nous voulons faire des essais réussis en résonance intramécanique.

La nature de la résonance de pression doit éliminer l'entropie de fait et les effets indésirables du mouvement des fluides, depuis les écoulements linéaires jusqu'aux allées de Karman

Vaisseau startrek à résonance de pressions et retour d'impulsion

Digression sur la résonance alternative des allées de Karman.

Pourquoi effectuer cet écart de sujet ? Parce que nous "subissons" déjà une forme de résonance, alors que nous devrions "bénéficier" de celle qui est sera produite à l'intérieur du star-trek..

Les "Karman streets" présentent l'exemple le plus manifeste de la résonance "résiduelle" qui caractérise notre dimension à tous les étages, cette résonance latérale (perpendiculaire à la course des mobiles, véhicules, corps en mvt..). L'intérêt donc, c'est qu'elle est facilement modélisable, et son équation n'est pas trop difficile à trouver.

Et par la suite, on peut éliminer cette résonance.

Mais commençons par le commencement : voici 2 vaporisateurs inversés et collés l'un à l'autre.

Quand un vapo souffle son parfum coloré, l'autre s'arrête et inversément

 

Ci-dessus: imaginons 2 vaporisateurs de parfum coloré: avec le vent qui souffle de la gauche vers la droite: quand l'un s'appuie sur l'autre pour vaporiser, l'autre s'arrête, et inversément

Première équation de Karman: "Le moment cinétique des tourbillons de la traîne de Karman sont comptablisés en m5/ sec

           Momentscin  des tourb. = forcevent  en m4 / sec2   x   conductance(inertie) du vent 

Note: l'inertie est appellée "conductance parce que c'est la fonction qui permet, à quelque chose en mvt, de se déplacer.

Les moments cinétiques des tourbillons liés s'associent l'un à l'autre en mode fréquence d'apparition et de disparition dans un contexte de puissance P: cette association de fréquence s'effectue en 1/sec², et nous obtenons donc une seconde équation de (perte de) puissance en

Pkarman = moments cin. freq², qu'il faut opposer à la puissance du vent sur l'obstacle, Pvent = Force. vitesse

Reprenons d'un seul coup d'oeil le versus de la table des puissances (où les puissances s'opposent).

 

 

La théorie du front fantôme...

 

La théorie de l'existence d'un front fantôme n'est pas à prendre à la légère.. car ces 2 fronts se multiplient entre eux par la pression qu'ils exercent l'un sur l'autre. Le résultat de leur interaction s'évalue en p2 = m4/sec4.

et de l'antigravité-retour

Les physiciens sont habitués à prendre le chemin le plus court pour parler d'une pression comme étant une force qui s'oppose à une surface ( p= F/S ).

Avec l'analyse dim. , cette formule est valable aussi: la pression est égale à la racine de la force x la fréquence² , car (F= p² / f ² )

Or nous avons vu dans d'autres articles de ce blog que la constante K de coulomb et la constante de gravité G se déclinent aussi en f², cad en 1/sec².. paradoxalement, la permittivité (transitivité électrique) s'établit en sec². Dans ce cas, on serait tenté d'un raisonnement simple: l'antigravité (transitivité spatiale libre) en sec² serait-elle le contraire de la gravité en 1/sec².. ?

La gravité se situerait dans le spectre EM selon Richard Lefors Clark et Karl Schapeller

C'est très tentant d'y croire, mais il y a autre chose qui m'intrigue, aussi bien pour les chercheurs russes comme Kozyrev, Podkletnov, Shipov, que d'autres comme les Américains Richard Lefors Clark ou Allemands comme Carl Schapeller : le magnétisme du champ Tesla.

Nous voyons sur l'image ci-dessus que certains chercheurs sentent confusément que le champ de gravité est à situer dans le spectre électromagnétique. Ces héros de la parole libre situent le "mur de Bloch" (que j'appelle mur de Joukovski, en hommage à ce dernier) entre les infrarouges et les ondes radio; c'est à peu près à cet endroit que se produit selon moi "la catastrophe ultraviolette", qui inverse le sens des radiations.

Pour eux, il s'agit de voir à cet endroit une inversion du spin des particules du champ EM.

Environ et au-dessus du niveau des fréquences 1010 à 1012 hertz, se situent pour moi des rayonnements qui partent des objets vers les "lampes" qui sont censées les éclairer.

Mais cette hypothèse d'inversion est à vérifier (par exemple avec les braises de charbon).

En attendant, ces chercheurs formidables ne parlent pas assez du magnétisme et de son champ d'expression particulier (la fréquence en 1/sec du champ Tesla) et surtout donc de son autre champ de résonance avec lui-même (la fréquence², en 1/sec²) d'invisiblité/antigravité.. Attention, ce "lieu" est carrément une projection vers un autre monde de l'espace-temps universel.

Le signe du tao indique une sorte de répulsion entre 2 parties, l'ensemble pourtant forme une unité par rapport au reste de l'Univers; la cohésion est donc plus forte que la répulsion..

 

 

 

A suivre

 

Notes bibliographiques:

1. cet article a été publié dans le forum de physique "futura-sciences" et aussitôt supprimé: 

Bonjour,

Comme vous le savez, la puissance en watts peut être égale à beaucoup de choses. Par exemple en électricité on a la formule  P = V² / r,  pour V = voltage (tension) et R = la résistance
En mécanique (des fluides et des solides), on peut s'amuser aussi.

En milieu liquide, on obtiendrait facilement que le carré des pressions (leur résonance) soit inscrit dans la relation Puiss = press² / Resis. ; or diviser quelque chose par une résistance R, c'est multiplier cette chose par une conductance C; donc Puiss = press². Cond.
En milieu solide le bateau d'un rameur, par exemple, avance par courtes accélérations sur sa propre impulsion I.. : donc Puiss = accel.  x Impul.

En puissance transférée, on obtient ceci: (voir dessin d'entrée avec la barque) Amusant, non ? Mais est-ce que ce calcul est bon  ?  :deepseul:

 

 

 

Devise du Nouvel-Âge: "Un seul être joue à être plusieurs".

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27 janvier 2024 6 27 /01 /janvier /2024 15:16

     Bonjour,

         Alors que nous cherchions à répondre à cette considération "Il faut inévitablement 1 point d'appui intermédiaire à l'action d'exister (dont l'action de Planck) entre le passé et le futur", voilà que le modèle des avirons nous vient à l'esprit ce matin du 26 janvier 24. 

N'oublions pas la formule de l'intention: "il faut partir du résultat à obtenir pour arriver au résultat obtenu" et donc d'autres questions sont à se poser.. :"Dans quelle dimension se trouve ce point d'appui pour que son point de départ coïncide avec son point d'arrivée ? Ou encore "Le point d'appui est le lien utilisé par la forme imprimant une action: quel est la texture de ce lien ? Comment la forme (l'objet de l'intention) commande-t-elle à tout le ssystème, en tant qu'objectif originel et futur?

Concernant le modèle choisi ci-dessus, il faut se référer à ceci: tout ce qui se trouve au-dessus de l'eau, représente ce qui se situe dans la 4ième dimension; les parties aériennes des rames sont le "spin du haut" qui se trouve dans la partie invisible de toute réalité; les parties immergées des avirons, dans notre 3D de la perception, sont le "spin du bas" . (les points d'appui sont situés entre les deux).

Notons déjà que l'image ci-dessus nous montre 2 avirons (2 rames) pivotants sur leurs 2 points d'appui intermédiaires.

N'allons pas trop vite, car notre volonté originelle à vouloir vivre dans le monde de la résistance nous a obligé à vivre des réalités à un seul pivot.. Vous allez comprendre.

 

 

En anglais, le verbe tourner se dit "(to) spin"

Nous voyons sur le tableau ci-dessus qu'il existe un spin visible et 1 spin invisible dans l'existence d'une réalité sonore; celle qui se trouve au-dessus est celle que l'on peut entendre dans l'eau, si sa fréquence est dans l'audible. La vitesse du son est de 1500 m / sec, et celle de la bulle sonore (qui étend le son dans toutes les directions), est de 3000 m/sec.

L'impédance sonore a une vitesse de 1500 km/sec, ce qui est déjà inimaginable (et relativiste..)

A suivre, article en construction

 

 

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24 janvier 2024 3 24 /01 /janvier /2024 16:31

Le 24 janvier 2024

Cet article est en construction; mais il sera répidement terminé. (Jean-Louis Tiberghien, pour tous ceux qui veulent échapper aux véhicules.. et aux prisons de ce monde)

Vous désirez vous téléporter ?

Bonjour,

Vous avez eu l'enthousiasme brisé (à moitié..) lorsque les physiciens vous ont juré que la téléportation n'existait pas. Ils ont utilisé leur foi pour se limiter, pour s'arrêter.

Nous allons l'utiliser pour déplacer la montagne de l'ignorance en la matière.

Il existe une technique toltèque pour nous servir de cet héritage - qui nous appartient à tous. Cet héritage qui révèle que ce monde est à priori un résultat perceptif, un monde virtuel. Et qu'il ne tient qu'à nous de s'en approprier les commandes.

Choisissez d'abord votre lieu de prédilection..

S'il n'y a plus d'audace en vous, oubliez ce qui suit, car il existe certains dangers APRES que nous nous soyons téléportés, liés tout simplement au lieu, et à nos frères humains qui s'y trouvent déjà.

Comme le dit Michel Sardou: quand le grand Magellan découvrit le Détroit, il y avait des enfants qui s'y baignaient déjà.

A suivre.

 

Signature du Nouvel-âge: un seul être joue à être plusieurs.

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22 janvier 2024 1 22 /01 /janvier /2024 16:01
Bonjour,

Alors que l'équation du débit "Q" d'un volume de liquide semble être, de toute évidence, une multiplication de sa vitesse "v" par la section "S" du conduit, en abrégé Q = v x S, il en existe une autre.

Tout mouvement d'une charge mécanique (ou électrique) a besoin d'une conductance en m x sec et d'une pression (ou tension en électricité) ; pour se représenter la conductance (serez-vous d'accord avec moi ?), disons qu'il s'agit d'une sorte de "permis de passage espace x temps" dans un conduit. Une conductance est l'inverse d'une résistance.. facile à comprendre, non ?

En parlant bien du débit volumique (et pas massique), sa formule est donc en (m3/sec) = (m.sec) x (m²/sec²) ou encore Q = C x P

Si vous avez tenu le coup jusqu'ici, vous remarquerez qu'il y a un petit problème: une conductance est un "état des choses", et une pression en est une autre..

mais alors, de où provient le "résultat", ce volume de liquide transféré entre le point A et le point B ? Téléportation  ? Transitivité ?
 
Oublions pour l'instant la téléportation 

Cette question a presqu'été lancée comme une boutade, mais à y réfléchir, la seule façon d'admettre que Q = C x P (qu'un déplacement de liquide est dû à une pression sur une conductance, c'est d'admettre que la conductance C est une propriété non pas du contenant (la canalisation) mais du contenu, du liquide lui-même.

 

Si on transpose cela dans le milieu électrique, cela fait plutôt désordre: une résistance électrique, en 1/(m.sec), c'est par exemple un filament dans une lampe, qui chauffe à blanc au passage du courant. Son opposé (en m.sec), la conductance, serait une propriété des charges qui transitent justement par la résistance ..?

C'est un peu le jeu du "tu peux pas passer (résis.) ... mais j'irai quand même (cond.)

 
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